Notre Bon Pays n'est pas de ce monde

Chers amis partenaires,

 

 

 

Jean-Michel Pannier

« Janvier 1977. C’est notre rencontre, ma chère Danièle et moi, avec Yves et Michelle, où le feu de Dieu a transformé, métamorphosé la famille Gravet. Ils sont entrés dans leur destinée. Et nous allons nous retrouver très bientôt.... 

Un autre miracle de Dieu Alléluia ! »

 

Oui, la Vie de Jésus, le Ressuscité, Corps Glorifié, n’est pas une utopie, et n’émane pas du « squelette » d’une religion morte habillée de ses rituels. Ici, nous parlons d’une Personne Vivante.

 

En invitant Jésus, le Ressuscité, à venir demeurer dans notre cœur, Sa Vie s’est répandue en nous dans toute Sa Puissance par le Saint-Esprit, conformément aux Promesses de Dieu : 

 

« Après cela, je déverserai mon Esprit sur tout être humain ; vos fils et vos filles prophétiseront, vos vieillards auront des rêves, et vos jeunes gens des visions. » Joël 3 : 1. 

 

« Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau. Je retirerai de votre corps le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair.

 

C’est mon Esprit que je mettrai en vous. Ainsi, je vous ferai suivre mes prescriptions, garder et respecter mes règles.

 

Vous habiterez le pays que j’ai donné à vos ancêtres, vous serez mon peuple et je serai votre Dieu. » - Ézéchiel 36 : 26 à 28.

Le serviteur et la servante de Dieu ont invoqué en notre faveur le Nom de Jésus. C’est alors que les souffles contaminés, qui empoisonnaient notre existence, ont été balayés de notre vie par la Puissance du Souffle Sacré qu’est le Saint-Esprit.

Jésus est La Parole de Dieu. Et parce qu’elle est Puissante, elle se veut Créatrice en nous de Sa Vie qui nous transforme, nous métamorphose de l’intérieur jusque sur l’extérieur. Ainsi, nous sommes devenus des enfants de Dieu par adoption en Jésus-Christ. Nous avons été établis par l’Esprit de Dieu dans le Bon Pays de Ses Promesses. Ce Bon Pays n’est pas de ce monde d’où nous nous sentions rejetés par sa nature corrompue. 

 

Comprenons que devant l’Œuvre de Jésus accomplie à La Croix, tout être humain est appelé à fléchir devant La Croix, et reconnaitre en son cœur que c’est là la signature de Dieu déclarant sa délivrance effective et son salut. Et qu’il n’y a rien à y rajouter. C’est ainsi que « Le Salut » est entré dans notre famille. Nous avons été relevés du séjour des morts, de notre sépulcre blanchi.

 

Désormais, depuis janvier 1977, notre cheminement dans ce Bon Pays est du domaine de La FOI, elle repose sur chaque promesse que Dieu nous donne dans Sa Parole. Apprendre à en vivre, c’est se découvrir et se connaitre en Jésus-Christ.

 

 Comme toute demeure nettoyée de ses impuretés, de ses croyances stériles, de ses pensées néfastes qui obscurcissent l’intelligence de tout être humain, pauvre ou riche, la Vie de Jésus Ressuscité a pour effet d’orner l’intérieur de notre demeure, de l’embellir, de l’enrichir, en lui offrant toute provision utile à notre croissance, et nous donner ainsi l’éclat de Sa Gloire. 

 

Pour ce faire, nous nous sommes attachés de tout notre cœur à nous nourrir de La Parole, afin d’en vivre sous le Souffle de l’Esprit de Dieu. Ainsi s’est engagée notre marche par la FOI ! Elle ne se vit pas dans l’inertie, elle se veut vivante dans l’action inspirée des Promesses de Dieu, pour déraciner les œuvres meurtrières de Satan qui sont comme des tumeurs cancéreuses infiltrées dans ce monde.

 

Actes des Apôtres 27 : 34 : « Je vous invite donc à prendre de la nourriture, car cela est nécessaire pour votre salut et aucun de vous ne perdra un cheveu de sa tête. »

 

Nous nous sommes attachés à suivre le Saint-Esprit, et à faire usage des actes de foi inspirés de l’Amour de Notre Père, devant chaque défi qui se présentait à nous. Et à chaque pas de foi, le résultat dans le Seigneur était au rendez-vous. Tout comme il l’est encore aujourd’hui. Notre marche par la FOI est constante.

Oui, de Notre Bon Pays, appuyé sur Sa Parole, nous combattons ce cancer infiltré dans ce monde qui ne vise qu’à tuer.

Ce qui nous passionne, c’est de valoriser en pratique Ses Lois divines pour le bien de tous. Elles ne sont pas comparables avec les lois imparfaites et impuissantes de ce monde malade où nous sommes des pèlerins, des voyageurs étrangers.

1 Corinthiens 15 : 58 : « Ainsi, mes frères et sœurs bien-aimés, soyez fermes et inébranlables. Travaillez de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n’est pas sans résultat dans le Seigneur. »

 

Depuis janvier 1977, ce que nous avons recherché avant toute chose, c’est le résultat de notre FOI concernant l’œuvre de notre Seigneur Jésus. Elle nous suit. Nous en portons ses preuves.

Nous n’avons pas commis l’erreur de rechercher en prime le résultat pour notre propre satisfaction, mais en priorité les intérêts de Notre Bon Pays, le Royaume de Dieu. 

 

Ainsi, les résultats dans le Seigneur ont développé en nous un héritage croissant, donnant l’éclat de la gloire de Dieu dans notre vie intérieure pour refléter sur notre vie extérieure, même au sein des épreuves traversées dans ce monde.

 

Colossiens 3 : 23-24 : « Tout ce que vous faites, faites-le de tout votre cœur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes, sachant que vous recevrez du Seigneur un héritage pour récompense. En effet, le Seigneur que vous servez, c’est Christ. »

 

En effet, ce qui prime c’est de servir selon les lois divines de Notre Bon Pays dans lequel nous avons été établis par l’Esprit de Dieu sur la base de Ses Promesses, afin de mettre en valeur la Justice du Seigneur pour le bien de tous.

 

Colossiens 3 : 25 : « Mais celui qui agit injustement recevra le salaire de son injustice, et il n’y a pas de favoritisme. »

 

L’activité de la FOI liée à l’Amour de Dieu a pour but de favoriser notre destinée dans Notre Bon Pays qui n’est pas sur cette terre où nous avons à traverser et à vaincre des défis. Et c’est parce qu’il y a ces défis, que Jésus a été envoyé jusqu’à nous comme le Bon Berger, afin de nous donner le moyen d’en sortir en nous montrant le chemin par lequel il veut nous faire passer pour vivre notre plein salut depuis la source de Notre Bon Pays. 

 

Là où Jésus demeure dans la vie d’une personne, il se doit véritablement d’en être le Bon Berger. C’est Lui qui nous conduit dans Notre Bon Pays où les Promesses de Dieu surabondent.

 

Un jour, en visitant une bergerie, deux gros et beaux chiens vivaient au milieu des brebis. Ils étaient là à mes côtés, et avant que j’aie pu vouloir les caresser, le berger me dit : « Non, ne les caressez pas, car il ne faut pas qu’ils s’habituent aux caresses des humains. Ils sont élevés au sein des brebis pour les sauvegarder des intrus, et les brebis sont habituées à leur présence et à leur défense. »

Nous ne sommes plus de ce monde. Nous sommes devenus étrangers à ses plaisirs malsains et à son odeur de mort spirituelle. Nous ne fonctionnons plus selon la pensée de ce monde étranger à la Vie de l’Esprit de Dieu. 

 

C’est en fonction de notre croissance dans le Seigneur que l’Esprit de Dieu nous dirige depuis Notre Bon Pays, à œuvrer au sein de ce monde, pour ramener et sauver des âmes égarées, afin qu’elles prennent le chemin du salut en Jésus. 

 

Jésus s’est retrouvé avec des gens de mauvaise vie, ceux-là qui avaient leur caractère bien trempé. Il ne s’est pas complu dans leur mode de vie. Au contraire, beaucoup se sont relevés du séjour des morts en vue de regagner le Bon Pays de la Promesse. Ils ont emprunté le chemin de la Foi, de l’Espérance, et de l’Amour pour vivre dans la maison de Dieu Notre Père.

 

Bien fraternellement en Lui. 

Vos chers amis.

Yves et Michelle GRAVET