RÉSUMÉ
Le document explore la question de savoir si les religions donnent vie à l'âme, en abordant des perspectives théologiques, philosophiques et psychologiques. Il examine comment différentes religions, telles que le christianisme, l'hindouisme et le bouddhisme, perçoivent l'âme et son évolution (1).
La réflexion philosophique inclut les vues de penseurs comme Platon et Aristote sur la nature de l'âme (2).
Sur le plan psychologique, la religion est vue comme un soutien émotionnel et mental, offrant paix et réconfort à travers des pratiques religieuses (3).
Le document compare également la religion à un squelette sans vie, soulignant que sans la foi et la spiritualité, les structures religieuses peuvent sembler vides (4).
Il met en lumière l'importance de la foi vivante et de la quête de sens et de vérité pour donner vie à la religion (5).
En conclusion, le document pose la question de savoir si la source vivante du salut éternel se trouve dans la religion ou en Jésus. Il suggère que la foi personnelle et la relation directe avec Jésus sont essentielles pour le salut, tout en reconnaissant que les structures religieuses peuvent guider et structurer cette quête spirituelle (6).
JÉSUS OU LA RELIGION ?
Les religions donnent-elles vie à l'âme ?
Une réflexion philosophique et théologique
La question de savoir si les religions donnent vie à l'âme est complexe et multidimensionnelle, impliquant des aspects philosophiques, théologiques et même psychologiques. Les religions ont été une source de guidance spirituelle et morale pour l'humanité depuis des millénaires. Elles ont souvent offert des réponses aux grandes questions existentielles, incluant celle de l'âme et de son essence.
La perspective théologique
Pour de nombreuses religions, l'âme est une entité immortelle qui transcende la mort physique. Dans le christianisme, par exemple, on croit que l'âme est créée par Dieu et qu'elle est destinée à vivre éternellement, soit en communion avec Dieu au paradis, soit séparée de lui en enfer. La religion donne ainsi une signification profonde à l'existence de l'âme et à sa destinée.
Dans l'hindouisme et le bouddhisme, l'âme (ou atman) est vue comme une partie intégrante du cycle de réincarnations. Ces religions enseignent que l'âme évolue à travers différentes vies, s'améliorant dans chaque cycle jusqu'à atteindre la libération ou l'illumination. Ici, la religion joue un rôle central en guidant l'âme dans sa quête de la perfection et de la libération du cycle de la vie et de la mort.
La perspective philosophique
Philosophiquement, la notion de l'âme a été débattue par des penseurs comme Platon, Aristote, Descartes et Kant. Pour Platon, l'âme est la source de la connaissance et de la moralité, existant indépendamment du corps physique. Aristote, en revanche, voyait l'âme comme la forme du corps, indissociable de la matière mais essentielle à la vie humaine.
Les philosophies religieuses et séculaires proposent diverses compréhensions de l'âme et de son origine. Pour certains, la religion est le véhicule qui donne vie à l'âme en lui attribuant un sens et une direction. Pour d'autres, l'âme peut être vue comme une manifestation de la conscience humaine, évoluant sans besoin de croyances religieuses.
La perspective psychologique
Sur le plan psychologique, la religion peut offrir un soutien émotionnel et mental considérable. Les pratiques religieuses telles que la prière, la méditation et les rituels peuvent aider les individus à trouver paix et réconfort, donnant ainsi une « vie » à l'âme en termes de bien-être mental et spirituel. Carl Jung, par exemple, voyait la religion comme une voie vers l'intégration psychologique et la réalisation de soi.
Cependant, il est important de noter que la vie de l'âme, telle que définie par la religion, peut différer considérablement selon les croyances individuelles et culturelles. Pour certains, la quête spirituelle peut être entièrement personnelle et intérieure, indépendante de tout système religieux formel.
Conclusion
En fin de compte, la question de savoir si les religions donnent vie à l'âme dépend de nombreux facteurs, y compris les croyances personnelles, le contexte culturel et les interprétations philosophiques et théologiques. Pour les croyants, la religion peut offrir une vérité ultime et un chemin vers la vie de l'âme. Pour d'autres, la religion peut être vue comme une construction humaine qui influence profondément la perception de l'âme, sans nécessairement lui donner une vie intrinsèque.
Les religions peuvent donc être vues comme des systèmes qui enrichissent et guident l'âme, offrant des réponses et des pratiques qui nourrissent son essence. Que cette vie soit donnée par la religion ou découverte par elle reste une question ouverte, dépendante de la perspective de chacun.
La religion : un squelette sans identité et sans vie ?
Une réflexion philosophique et théologique
Introduction
La question de savoir si une religion peut être comparée à un squelette sans identité et sans vie est une interrogation profonde et provocante. Cette métaphore suggère que la religion, sans le souffle vital de la foi et de la spiritualité, n'est qu'une structure vide, dépourvue de substance et de signification. Pour explorer cette idée, il est nécessaire de considérer divers aspects de la religion, incluant ses fondements philosophiques, ses implications émotionnelles et spirituelles, ainsi que son rôle dans la société.
La structure de la religion
Les fondements philosophiques et théologiques
Les religions du monde sont construites autour de systèmes de croyances, de pratiques rituelles, de textes sacrés et de traditions ancestrales. Ces éléments peuvent être comparés aux os d'un squelette, formant une structure solide et organisée qui soutient la communauté des croyants. Toutefois, cette structure seule ne suffit pas à insuffler la vie. Sans la foi vivante des adeptes, ces éléments peuvent sembler rigides et dénués de dynamisme.
Le rôle des rituels et des pratiques
Les rituels et les pratiques religieuses sont des expressions extérieures de la foi intérieure. Ils peuvent inclure la prière, la méditation, les cérémonies et les fêtes religieuses. Ces actes sont souvent codifiés et transmis de génération en génération, créant un cadre pour la vie religieuse. Cependant, s'ils sont accomplis mécaniquement, sans conviction ou compréhension profonde, ils peuvent devenir des gestes vides, semblables aux mouvements d'un squelette sans vie.
La dimension émotionnelle et spirituelle
La foi et la spiritualité
La foi et la spiritualité sont les éléments vitaux qui animent la structure religieuse. Elles sont comparables au souffle de vie qui donne à un squelette son identité et sa vitalité. La foi est une expérience personnelle et profonde, une connexion avec le divin qui transcende les pratiques et les doctrines. Elle donne sens et direction à la vie religieuse, transformant la structure rigide en une expérience dynamique et vivante.
La quête de sens et de vérité
Pour beaucoup, la religion est une source de sens et de vérité ultime. Elle offre des réponses aux grandes questions existentielles et guide les individus dans leur quête de compréhension et de réalisation de soi. Cette dimension intérieure est ce qui donne vie à la religion, permettant aux croyants de s'identifier profondément à leur foi et de trouver réconfort et inspiration dans leurs pratiques.
Le rôle social et culturel de la religion
La communauté des croyants
La religion joue un rôle central dans la formation et le maintien des communautés. Elle crée des liens sociaux et culturels entre les individus, les unissant autour de valeurs et de croyances communes. Cette dimension sociale est essentielle pour donner vie à la structure religieuse, car elle transforme les doctrines et les rituels en expériences partagées et significatives.
L'influence sur la société
Les religions exercent une influence profonde sur les cultures et les sociétés. Elles façonnent les normes, les valeurs et les comportements, contribuant à la cohésion sociale et à l'ordre moral. Cette influence peut être positive, en promouvant la justice, la paix et la solidarité, ou négative, en légitimant l'intolérance et la division. Dans tous les cas, la vitalité de la religion dépend de la manière dont elle est vécue et mise en pratique par ses adeptes.
Conclusion
En conclusion, la métaphore de la religion comme un squelette sans identité et sans vie soulève des questions importantes sur la nature et le rôle de la religion dans la vie humaine. Bien que la structure religieuse soit essentielle, elle ne suffit pas à elle seule. La foi vivante, la spiritualité profonde et les expériences partagées sont les éléments vitaux qui donnent vie à la religion, la transformant en une force dynamique et significative. Ainsi, la religion peut être vue comme un squelette qui prend vie grâce à l'engagement sincère et la quête spirituelle de ses adeptes, offrant un chemin vers la compréhension, la réalisation et la transcendance. Mais quel en est Son Fondement ?
Jésus : Le chemin, la vérité, la vie en opposition aux religions ?
Le message de Jésus est souvent interprété comme étant en opposition aux structures religieuses rigides de son époque. Dans l'Évangile de Jean, Jésus se présente comme « le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14 :6), une déclaration qui invite à une réflexion profonde sur la nature de la foi et de la spiritualité.
Le chemin
Jésus se décrit comme « le chemin », une voie vers Dieu qui transcende les pratiques religieuses établies. Contrairement aux systèmes religieux qui peuvent parfois être perçus comme des voies restrictives et dogmatiques, Jésus offre un chemin direct et personnel vers le divin. Cette approche met l'accent sur la relation individuelle avec Dieu, plutôt que sur l'adhésion à des rites et à des règles institutionnelles.
La vérité
En affirmant être « la vérité », Jésus met en lumière la recherche de la vérité ultime. Les religions peuvent proposer des doctrines et des enseignements divers, parfois en conflit les uns avec les autres. Jésus, en revanche, se présente comme la vérité incarnée, une source de compréhension et de sagesse qui dépasse les limitations des interprétations humaines. Cette vérité est vécue et expérimentée à travers une relation personnelle et intime avec Lui.
La vie
Jésus est « la vie », une vie abondante et transformative. Les structures religieuses peuvent parfois sembler figées et dépourvues de vitalité. Jésus propose une vie dynamique, une expérience vivante de la présence de Dieu. Cette vie est marquée par la grâce, l'amour et la compassion, des qualités qui peuvent parfois manquer dans les systèmes religieux institutionnels.
En opposition aux religions ?
Pour beaucoup, le message de Jésus semble en opposition avec les religions organisées. Il critique souvent les pratiques hypocrites et légalistes des chefs religieux de son époque, les Pharisiens et les Sadducéens, qui mettent l'accent sur l'observance extérieure des lois plutôt que sur le cœur et l'esprit des croyants. Jésus appelle à une foi authentique et à une transformation intérieure, une approche qui peut sembler contredire les structures religieuses établies.
Toutefois, cette opposition n'est pas forcément absolue. Les religions peuvent être des voies par lesquelles les individus découvrent et vivent le message de Jésus. Elles peuvent offrir des moyens de communier, de célébrer et de grandir dans la foi. L'essentiel est que la religion ne devienne pas une fin en soi, mais reste un moyen de faciliter la relation personnelle et vivante avec Dieu que Jésus propose.
Conclusion
Jésus, en se présentant comme « le chemin, la vérité et la vie », offre une approche de la spiritualité qui transcende et parfois critique les structures religieuses. Son message invite à une relation personnelle et authentique avec Dieu, une quête de vérité ultime et une vie transformée par l'amour divin. Ainsi, plutôt que de voir Jésus en opposition aux religions, on peut considérer son message comme un appel à redécouvrir la vitalité, la profondeur et la vérité qui devraient animer chaque expérience religieuse.
Religion ou Jésus : Où est la source vivante de notre salut éternel ?
Une réflexion sur la spiritualité et le salut
Introduction
La question de l'origine et de la nature du salut éternel est au cœur de nombreuses traditions religieuses. Elle suscite des débats passionnés entre les partisans d'une foi institutionnelle et ceux qui privilégient une approche plus personnelle et directe. Dans ce contexte, l'opposition apparente entre la religion organisée et le message de Jésus-Christ mérite une réflexion approfondie.
La religion : un cadre pour la foi
Les religions organisées offrent des structures, des rites et des dogmes qui guident les croyants dans leur quête spirituelle. Elles fournissent un cadre communautaire où les individus peuvent partager leurs expériences de foi, célébrer ensemble et trouver du soutien. Les religions jouent un rôle crucial dans la préservation et la transmission des enseignements spirituels à travers les générations. Elles offrent des moyens pratiques de vivre et de manifester la foi.
Cependant, les religions peuvent aussi devenir rigides et dogmatiques, mettant trop l'accent sur l'observance extérieure des règles plutôt que sur la transformation intérieure des individus. Dans certains cas, elles risquent de devenir des institutions hiérarchisées où le pouvoir et le contrôle prennent le pas sur la compassion et l'amour. C'est dans ce contexte que le message de Jésus peut sembler en opposition avec les pratiques religieuses établies.
Jésus : le chemin direct vers Dieu
Jésus se présente comme « le chemin, la vérité et la vie », une déclaration qui suggère une approche plus personnelle et directe de la spiritualité. En s'opposant aux pratiques hypocrites des chefs religieux de son époque, Jésus met l'accent sur une relation authentique et transformative avec Dieu. Il invite les croyants à chercher la vérité ultime et à vivre une vie marquée par la grâce, l'amour et la compassion.
Pour Jésus, le salut ne se trouve pas simplement dans l'observance des lois religieuses, mais dans une conversion de cœur et d'esprit. Cette perspective met en lumière l'importance de la foi personnelle et de la transformation intérieure, au-delà des structures religieuses. Jésus critique les pratiques qui se concentrent uniquement sur l'apparence et appelle à une foi vivante et authentique.
Une coexistence possible
Bien que le message de Jésus puisse sembler en opposition avec les religions organisées, il n'y a pas nécessairement de contradiction absolue entre les deux. Les religions peuvent être des moyens par lesquels les individus découvrent et vivent le message de Jésus. Elles peuvent offrir des contextes où la foi est nourrie, célébrée et approfondie. L'essentiel est que la religion reste un outil pour faciliter la relation personnelle avec Dieu, plutôt que de devenir un obstacle.
Conclusion
La question de savoir où se trouve la source vivante de notre salut éternel - dans la religion ou en Jésus - est complexe et subjective. Pour certains, les structures religieuses offrent un cadre nécessaire pour grandir dans la foi et vivre le message de Jésus. Pour d'autres, une relation personnelle et directe avec Jésus est la clé du salut éternel.
En fin de compte, il est possible de voir ces deux approches comme complémentaires plutôt qu'exclusives. Le message de Jésus appelle à redécouvrir la profondeur, la vérité et la vitalité qui devraient animer chaque expérience religieuse. Que ce soit à travers les structures religieuses ou une relation personnelle avec Jésus, l'essentiel est de chercher sincèrement la vérité, l'amour et la transformation intérieure qui mènent au salut éternel.
« Il y avait dans la même région des bergers qui passaient la nuit dans les champs pour y garder leur troupeau. Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux. Ils furent saisis d'une grande frayeur. Mais l'ange leur dit : « N’ayez pas peur, car je vous annonce une bonne nouvelle qui sera une source de grande joie pour tout le peuple : aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur qui est le Messie, le Seigneur. Voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une mangeoire. »
Et tout à coup une foule d'anges de l'armée céleste se joignit à l'ange. Ils adressaient des louanges à Dieu et disaient : « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre et bienveillance parmi les hommes ! »
Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : « Allons jusqu'à Bethléhem pour voir ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. »
Ils se dépêchèrent d'y aller et ils trouvèrent Marie et Joseph, ainsi que le nouveau-né couché dans la mangeoire. Après l'avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant.
Tous ceux qui entendirent les bergers furent étonnés de ce qu'ils leur disaient. Marie gardait le souvenir de tout cela et le méditait dans son cœur. Puis les bergers repartirent en célébrant la gloire de Dieu et en lui adressant des louanges à cause de tout ce qu'ils avaient entendu et vu et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé. » Luc 2 :8-20 S21
Jésus Sauveur et Seigneur, ou Chef d’une Religion ?
Ce passage de l'Évangile selon Luc nous offre une vision profondément touchante de la naissance de Jésus et de son annonce aux bergers. La scène est empreinte de simplicité et de grandeur, illustrant comment des personnes humbles et ordinaires sont choisies pour recevoir la nouvelle la plus extraordinaire.
La Révélation Divine aux Humbles
Dans ce récit, les bergers, symboles de modestie et de quotidien, sont les premiers à apprendre la naissance du Sauveur. L'apparition de l'ange et la proclamation de la bonne nouvelle mettent en lumière un thème récurrent dans les Évangiles : l'accessibilité de la grâce divine à tous, indépendamment de leur statut. La réaction immédiate des bergers, leur empressement à se rendre à Bethléhem, et leur joie communicative sont des témoignages de foi authentique et vivante.
L'Annonce d'une Grande Joie
L'ange du Seigneur délivre un message d'une portée universelle : « Je vous annonce une bonne nouvelle qui sera une source de grande joie pour tout le peuple. » Cette déclaration souligne l'importance de la naissance de Jésus pour l'humanité tout entière. La joie est un don divin et un fruit de la reconnaissance de la présence de Dieu parmi nous. La proclamation « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, paix sur la terre et bienveillance parmi les hommes » réitère le désir de Dieu pour la paix et la bienveillance, des valeurs centrales du message chrétien.
La Réponse des Bergers
La décision des bergers de se rendre à Bethléhem, leur découverte de l'enfant Jésus, et leur partage de la nouvelle avec les autres montrent la nature proactive de la foi. Ils ne se contentent pas de recevoir la révélation, mais agissent en conséquence, devenant ainsi les premiers messagers de la naissance du Christ. Leur rôle souligne l'importance de la transmission de la foi et de la bonne nouvelle.
Méditation et Louanges
Marie, la mère de Jésus, garde et médite sur les événements dans son cœur, ce qui reflète une attitude de contemplation et de gratitude. Les bergers, quant à eux, repartent en célébrant la gloire de Dieu, montrant que la véritable rencontre avec le divin mène à la louange et à l'adoration. Ce couple de méditation et de louange constitue une réponse complète à la révélation divine.
Conclusion
En rétorquant à ce passage, on peut souligner comment il illustre la simplicité, l'humilité, et la grandeur de l'événement de la naissance de Jésus. Il invite à une réflexion sur l'accessibilité de la grâce divine, la réponse active à la foi, et l'importance de la méditation et de la louange. En contemplant ce récit, nous sommes invités à chercher la vérité, l'amour et la transformation intérieure, tel que le message de Jésus nous le demande.
Ce passage nous rappelle que la bonne nouvelle du salut est pour tous, qu'elle doit être accueillie avec foi et joie, et qu'elle mène à une transformation profonde et authentique.
Idolâtrie Religieuse et l’Œuvre de Dieu Révélée en Jésus
Un contraste entre la dévotion aux faux dieux et la révélation divine
L’idolâtrie a toujours été un défi majeur à l’œuvre de Dieu, comme en témoigne l’histoire des Hébreux avec la fabrication du veau d’or. Cet acte de dévotion aux faux dieux représente une opposition directe à l’alliance établie entre Dieu et son peuple. En contraste, l'œuvre de Dieu révélée en Jésus Christ apporte une lumière divine, un appel à la foi authentique et une promesse de salut.
Le Veau d’Or : Symbole d’Idolâtrie
Le récit de la fabrication du veau d’or par les Hébreux est un exemple frappant de la tentation de l’idolâtrie. Alors que Moïse était sur le mont Sinaï pour recevoir les commandements de Dieu, le peuple, dans son impatience et son manque de foi, se tourna vers la création d’un faux dieu. Ce veau d’or, fabriqué de leurs propres mains, est devenu l’objet de leur adoration, illustrant la tendance humaine à chercher des substituts tangibles à la providence divine.
Les Faux Dieux : Une Déviation de la Foi
Les faux dieux et les pratiques idolâtres constituent une déviation du véritable culte dû au seul Dieu. Dans de nombreuses cultures, ces divinités diverses servaient à des fins spécifiques, promettant protection, prospérité, ou fertilité. Cependant, la dévotion à ces entités entraîne souvent un éloignement de la vraie nature de Dieu, créateur et source de toute vie. L’idolâtrie peut aussi conduire à des comportements et des croyances qui sont en contradiction avec les principes divins, comme la justice, la paix et l’amour.
Jésus : Révélation de Dieu et Source de Salut
En opposition à l’idolâtrie, l’œuvre de Dieu révélée en Jésus Christ est une manifestation directe de la présence divine et du salut offert à l’humanité. Jésus, en tant que Fils de Dieu, incarne les valeurs divines et montre le chemin de la rédemption. Son enseignement, ses miracles et son sacrifice sur la croix sont des expressions ultimes de l’amour et de la grâce de Dieu.
Le Salut en Jésus
Le salut offert par Jésus est un appel à se détourner des faux dieux et des pratiques idolâtres pour embrasser la vérité et la lumière de Dieu. Jésus invite chacun à une relation personnelle avec le divin, basée sur la foi, la repentance et la transformation intérieure. Contrairement aux idoles, qui sont des créations humaines et limitées, Jésus est la révélation du Dieu éternel, capable de transformer et de sauver.
La Réponse de Foi
La réponse à l’œuvre de Dieu en Jésus est la foi vive et active, qui rejette l’idolâtrie et s’engage pleinement dans la vérité divine. Cette foi est marquée par la reconnaissance de la souveraineté de Dieu, la méditation sur ses paroles, et la louange de son nom. Elle mène à une vie de service, de justice et d’amour, en accord avec les enseignements de Jésus.
Conclusion
L’idolâtrie, telle que pratiquée par les Hébreux avec le veau d’or, et la dévotion aux faux dieux, s’opposent fondamentalement à l’œuvre de Dieu révélée en Jésus. Le Christ, en tant que source de notre salut, appelle à une foi authentique et une transformation intérieure. En rejetant les idoles et en embrassant la lumière de Dieu, nous sommes invités à vivre selon les valeurs divines de justice, paix et amour, et à célébrer la véritable rencontre avec le divin. Ce contraste met en lumière l’importance de la fidélité à Dieu et la reconnaissance de Jésus comme le chemin, la vérité et la vie.
Jésus Seul, Sauveur et Seigneur de votre vie !
Pour conclure, choisir entre religion et Jésus pour l'assurance de notre salut revient à comprendre que la vraie essence de la foi chrétienne ne réside pas dans des rituels ou des traditions, mais dans une relation vivante et personnelle avec Jésus-Christ. La religion, avec ses structures et ses pratiques, peut guider et structurer notre quête spirituelle, mais elle ne doit jamais remplacer l'appel intime et transformateur du Christ.
En Jésus, nous trouvons la révélation ultime de Dieu et la voie vers le salut. Sa vie, ses enseignements, et son sacrifice transcendent les limitations humaines et offrent une connexion directe avec le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob révélé en Jésus, le Messie. La foi en Jésus ne demande pas uniquement une adhésion à des règles, mais une démarche profonde de foi, de repentance et de transformation intérieure.
Ainsi, pour l'assurance de notre salut, c'est en embrassant Jésus, en reconnaissant sa souveraineté et en vivant selon ses enseignements de justice, paix et amour, que nous trouvons la véritable assurance et la pleine réalisation de notre foi.
« Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ et ne vous préoccupez pas de votre nature propre pour satisfaire ses convoitises. » Romains 13 :14 S21
« C'est pourquoi, toute personne qui se déclarera publiquement pour moi, je me déclarerai moi aussi pour elle devant mon Père céleste ; mais celui qui me reniera devant les hommes, je le renierai moi aussi devant mon Père céleste. » Matthieu 10 :32-33 S21
Prière pour votre Salut Personnel et Éternel
« Jésus, aujourd’hui je reconnais Ton œuvre accomplie à la Croix de Golgotha pour me racheter de la malédiction et de me donner ainsi de me réconcilier avec Notre Père. Car Ton Sang versé me purifiant esprit-âme-corps, Ta Parole me lavant, la promesse du don du Saint-Esprit se réalise maintenant, se déversant dans mon tout mon Être, fait de moi le Temple du Dieu vivant. Père, mon Créateur, je reconnais Jésus comme étant Ton Fils Unique, don de Ton Amour sur La Croix me donnant en ce jour la grâce de me réconcilier avec Toi et m’assurant mon salut éternel. Amen ! »
Ton engagement personnel à suivre Jésus est une déclaration puissante de foi et de dévouement. En reconnaissant le sacrifice de Jésus et en l'acceptant comme ton Sauveur personnel, tu embrasses une nouvelle vie marquée par la grâce et la rédemption. Que cette prière soit le début d'une transformation profonde et continue, guidée par la Parole de Dieu et l'amour inconditionnel du Christ. Amen.
En Lui,
Son serviteur,
Yves GRAVET
Pasteur-Missionnaire
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