Chers amis, frères et sœurs,
Sur la précédente route du vainqueur, le sujet de ma réflexion était « Entrer et Voir le Royaume de Dieu », ceci afin d’ajuster notre vision sur les réalités de la vie chrétienne ; vous pouvez retrouver ce sujet en copiant ce lien sur votre moteur de recherche internet pour accéder sur notre blog :
Aujourd'hui, en poursuivant sur la route du vainqueur, voici ce que notre Seigneur Jésus-Christ me donne de vous servir pour mieux appréhender le vécu quant à de telles réalités célestes :
« C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. » Évangile de Jean 10 : 9.
Nous entrons dans le Royaume de Dieu par une seule et unique porte : « Au Nom de Jésus-Christ ! » C'est la seule porte qui soit authentifiée par Dieu notre Créateur et Père comme étant le code unique pour accéder dans Son Royaume ; il est devenu accessible à toute personne qui accepte de revêtir l’empreinte de Jésus-Christ glorifié comme don de Dieu pour son salut esprit, âme et corps. La foi étant la ferme assurance que, pour nous, à notre place, Jésus est venu satisfaire pleinement à la Justice de Dieu, conformément à son plan. Alors, à chacun de s’approprier ce don d’amour et de s’y affectionner en vue de revêtir réellement Son empreinte.
Les réalités du Royaume de Dieu ne sont pas de ce monde. Il y a ce que nous voyons dans ce monde, et qui, en définitive, est le reflet d’un monde spirituel, celui du monde de ténèbres. Ainsi, ce monde dans lequel nous sommes nés de chair et sang est sous la puissance de Satan. Ce qui explique le désordre au sein des nations. C’est par la nature du péché que nos yeux sont donc bouchés. Mais, il y a ce que nous ne voyons pas, et qui se trouve dans Royaume de Dieu. C’est le plan d’amour que Dieu a prévu pour nous libérer de cette captivité, en rendant visible les réalités célestes dès lors que nous acceptons de revêtir l’empreinte de Sa Royauté.
Pourquoi refuser ce pour quoi Jésus est venu payer de sa vie le prix de notre rachat ?
Est-ce vraiment possible ! Oui, c’est possible pour quiconque croit pleinement dans son cœur !
Ainsi, par la grâce de Dieu, en détournant notre regard de ce monde, visiblement en perdition, pour nous tourner vers « la porte » de notre salut, nous avons la possibilité d’accéder au Royaume de Dieu, donc d’y « entrer » et, de nos yeux « débouchés » par son collyre, « voir » les réalités célestes et vivre ainsi au bénéfice de telles réalités que le monde ne connaît pas. De plus, Jésus rajoute ici « entrer » et « sortir » pour trouver de quoi nous nourrir. C’est dire que nous sommes assurés d’une vie comblée à tous égards de ses bienfaits.
Comprenons bien ceci. Pourquoi gémissons-nous dans notre corps ? Parce que nous sommes en captivité dans ce qui conditionne notre mode de vie, nos coutumes, nos traditions. Le progrès de la technologie, bien que visant à nous donner du confort, n’a jamais comblé le vide que toute personne peut éprouver, quand bien même elle demeure dans l’abondance financière ou matérielle.
La vie chrétienne se limite aujourd’hui à cette seule possibilité que l'homme intérieur peut, au moyen de la foi, « entrer » et « voir » le Royaume de Dieu uniquement par l'esprit et être ainsi comblé. Ce qui est une bonne chose. Certes. Cependant, à cette frontière, du sein de la chrétienté nous entendons ça et là des gémissements. Or, nous professons avec force ce que nous croyons avoir acquis au moyen de la foi. Amen ! Et nous demeurons ainsi dans la suffisance des prémices de l’Esprit (Romains 8 : 23) ; mais ce n’est là qu’un avant goût des réalités célestes auxquelles nous avons désormais la possibilité d’accéder dans toute sa plénitude. Car, en finalité, nous ne devons pas omettre que « nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce sur grâce » (Jean 1 : 16). Or, nous chrétiens qui, de surcroît, avons été baptisés du Saint-Esprit, quel usage concret faisons-nous de cette plénitude qui est là devant nous portée à notre compte ?
Jésus a pour nous inauguré la route du vainqueur pour que nous parvenions au plus grand réveil de l’histoire de l’Église : Le REVEIL dans la plénitude de Sa Gloire !!!
Chers amis, frères et sœurs, Jésus nous en donne accès dès maintenant sur la route du vainqueur tracée par les instructions dans le livre de la Révélation (Apocalypse). Il nous révèle le plan que Dieu a prévu pour que nous vivions réellement esprit, âme et corps dans la plénitude de Son Amour parfait (Jean 3 : 7). Ce qui implique que nous devrions, comme notre frère l’apôtre Jean, vivre en union avec notre Seigneur Jésus-Christ Glorifié une réelle ivresse d’Amour et, par conséquent, être pleinement baptisé - immergé dans sa nature céleste, nature de feu ; comme pour notre frère l’apôtre Jean, notre corps doit passer par ce processus de métamorphose pour que nous puissions accéder réellement à cette plénitude dans la salle du Trône, là où l’Église de notre Seigneur Jésus-Christ est invitée à se rassembler. C’est là, dans Sa gloire, que nous pouvons vivre et connaître une réelle unité (Jean 17 :22) et exercer alors, sans esprit de concurrence, le service du « sacrificateur » que nous sommes sensés être maintenant. Notons qu’ici, la notion du « ministère » disparaît, puisqu’il a fait de nous un royaume, « des sacrificateurs » pour Dieu son Père (Apocalypse 1 : 6). C’est dire que nous intégrons, non un mouvement, mais cette Église glorieuse qui, à partir de son lieu de rencontre qu’est la Salle du Trône, a une mission à remplir. Ainsi, Jésus est revenu vers Jean pour nous libérer et, dans le principe de Son Alliance, nous faire passer à un autre registre. Ne refusons pas d’entendre.
Réfléchissons. Notre frère, l'apôtre Jean, a été mis aux oubliettes sur cette île de Pathmos par ceux qui, bien qu’ayant commencé avec les prémices de l’Esprit, s'employèrent à sauvegarder un format traditionnel quant aux rencontres agrémentées avec un mélange de spiritualité et de principes humains, et d’actes symboliques. Pour autant, sur cette île Jean n’a pas été oublié du Seigneur Jésus. Et c’est bien là ce qui doit éveiller notre attention. Chacun doit faire son choix : Vivre au dépend d’un mouvement religieux quelconque, aussi excellent soit-il, et se rassurer en entretenant son bien-être intérieur en écoutant des discours, ou vaincre en fusionnant avec Jésus-Christ Glorifié en vue de devenir, par son empreinte de feu, un réel témoin de Sa gloire au sein de ce monde qui, rappelons-le, est dans l’attente de la révélation des fils de Dieu. Être semblable à Christ, c’est là, je le crois, la véritable action de l’évangélisation.
Or, pendant que les autres se satisfaisaient dans leur façon de faire, oublié sur cette île de Pathmos, Jean a eu cet honneur d’avoir la visite de Son Seigneur Jésus qui est revenu pour se révéler à lui dans toute Sa Gloire. Comme nul ne peut voir Dieu et vivre, évidemment Jean est tombé comme mort ; dès cet instant, il fut alors immergé « esprit, âme et corps » en Christ, dans sa nature faite de feu céleste (Apocalypse 1 :14-15). Et, son corps charnel, corrompu, mortel - comme le notre -, fut absorbé dans ce baptême de gloire, revêtu alors de l’incorruptibilité et rendu immortel. Corporellement métamorphosé, transformé de gloire en gloire jusqu'à devenir semblable à Jésus (2 Corinthiens 3 : 18). La mort n’avait plus de pouvoir sur le corps de Jean. Jésus l’ayant libéré et relevé, il pouvait ainsi accéder à la Salle du Trône (Apocalypse 4 :2-3). Il eut la possibilité « d'entrer » et de « sortir » pour nous munir, nous approvisionner de ce que notre Seigneur Jésus Glorifié lui a fait découvrir et donné d’écrire pour notre instruction, à savoir toutes les étapes de la route du vainqueur que nous avons à franchir pour vivre au bénéfice des réalités célestes. Là est le plan que Dieu a préparé pour chaque vainqueur que nous sommes destinés à être avec Jésus. C’est ce que nous devons activement rechercher, afin d’être au sein de cette assemblée de vainqueurs qui se tient dans la Salle du Trône.
Vous connaissez ce chant : « avec Dieu nous ferons des exploits… ». Ce que je ne doute pas dans la mesure où nous intégrons ce plan et désirons le vivre concrètement. Là est la route du vainqueur où la gloire réelle de Jésus se révèle au sein de notre captivité et nous libère. Nous qui avons reçu les prémices de l’Esprit, devons sortir concrètement de cette captivité. Quelle captivité, me direz-vous ? En effet, c’est un paradoxe par rapport à ce que nous avons cru comme étant acquis : « Viens à Jésus, et tu seras réellement libre. » Or, ce n’est pas le cas pour beaucoup de chrétiens qui, tout en usant des prémices de l’Esprit, demeurent en captivité, à savoir : dans la pauvreté, la maladie, faisant face à tant de difficultés familiales, professionnelles comme d’autres dans le monde ; il n’y a en effet aucune différence. Or, nous nous empressons de trouver cela « normal » pour ceux du dehors, mais pour ceux qui se réclament de Jésus-Christ, où est la différence ? Il nous suffit d’observer le peuple d’Israël, il se différencie, avantageusement dans bien des domaines par rapport aux autres peuples ; il en fait la démonstration. C’est là l’œuvre que Dieu opère au sein de son peuple. Et nous, chrétiens, qui sommes greffés à la racine, ne sommes-nous pas son peuple ?
Certaines interprétations qui sont exprimées sur l'Apocalypse compliquent plus l'accès au Royaume de Dieu qu’elles ne le favorisent pour beaucoup de personnes. Soit. Mais croyez-vous que la compréhension du Royaume de Dieu soit si compliquée ? Alors que le plan du salut en Jésus-Christ a été révélé à des gens sans instruction ? Que ce soit pour ces bergers venus s’incliner là où Jésus, nouveau-né, se trouvait ? Que ce soit pour ces hommes qui, répondant à l’appel du Seigneur Jésus, laissèrent leurs occupations professionnelles pour Le suivre dans le champ de mission, n’entendaient-ils pas de la part de certains religieux cette remarque « ce sont des gens sans instruction ! » Jésus n’a-t’il pas choisi cette équipe pour révolutionner ce monde ?
Méditons sur le dialogue que notre Seigneur Jésus a avec le jeune homme riche (Luc 18 : 15 à 30).
Jésus dit que le royaume de Dieu est accessible aux enfants et à ceux qui leur ressemblent. Et voilà qu'un chef religieux, instruit dans les Saintes Écritures, vient à lui et se justifie en démontrant les biens qu'il possède par ses œuvres, tandis qu’il applique à la lettre les commandements de Dieu.
Jésus ne lui fait aucun reproche sur ce qu’il vise à démontrer la perfection de son vécu. Toutefois, il va toucher la faille de son armure en lui faisant découvrir qu’il lui manque l'essentiel : « Il te manque encore une chose : vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. » Et voici que cet homme est devenu triste. Il croyait avoir tout acquis et satisfait aux commandements de Dieu. Et le voici ébranlé. Jésus ne lui dit pas que ce qu’il a fait est perdu, mais d’aller plus loin sur la route du vainqueur. Il l’invite à vendre ce qu’il possède à ceux que cela peut intéresser, et de donner le fruit de cette vente à ceux qui sont dans le besoin ; il lui assure qu’il aura alors un trésor en conséquence dans le ciel.
En effet, pour ce chef, ce supérieur en instruction, comment se séparer de tels biens acquis au gré du temps pour accéder à un autre registre, celui où l’Esprit de Dieu vise à ce que nous accédions avec Jésus dans la plénitude de sa gloire ? Cet homme vivait sous le couvert de sa doctrine dans « son petit royaume » où il était captif de ce qu’il possédait. Jésus lui donne l’occasion d’en sortir en l’invitant à le suivre pour découvrir ce qu’il ne voit pas du sein de sa captivité « espace, matière, temps ».
Jésus vit alors qu’il était difficile pour un riche « d’entrer » dans le Royaume de Dieu, afin de vivre selon le plan de Dieu établi pour le vainqueur. « Ceux qui l’écoutaient dirent : « Qui donc peut être sauvé ? » Jésus répondit : « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. »
Recherchons les choses d’en-haut. Ne nous lassons point. Le Royaume de Dieu est au ciel, là où Jésus siège. De même que nous avons reçu le Saint-Esprit, croyons que nous pouvons êtres revêtus par l’empreinte de sa nature fait de feu céleste, c’est-à-dire l’Amour parfait de Dieu ; alors nous ne risquerons pas de ressembler à des cymbales qui résonnent (1 Corinthiens 13). Car cet Amour parfait est la condition requise pour excuser tout, pardonner tout, ne pas soupçonner le mal. Cette nature nous rend réellement libres face à celui qui n’a de cesse d’accuser nos frères et sœurs jour et nuit devant Dieu et qui, de surcroît, vise à faire de certains chrétiens des « juges ». Or, devons-nous « rechercher » la dimension réelle de cet Amour parfait dans l’union avec Jésus Glorifié ; il bannit la crainte de cet avenir qui s’assombrit aux yeux d’un grand nombre de chrétiens ; beaucoup sombrent dans le pessimisme et sont dans l’incapacité de voir les réalités célestes. Prions qu’ils reçoivent le message de Jean qui est le Caleb, le Josué de notre temps pour passer de l’autre coté.
Le monde considère – sans l’avoir lu - que l’Apocalypse est un temps catastrophique avec ses horreurs à venir qui en découlent. C’est une vision, un pressentiment pour ceux qui refusent le plan du salut en Jésus et qui ont, par conséquent, les yeux bouchés ; ils ne voient pas la « porte » d’accès pour leur salut. Certes. Il est indispensable que chaque chrétien vise à revêtir l’empreinte de Jésus-Christ Glorifié pour échapper aux œuvres de ténèbres qui pèsent de plus en plus sur ce monde. Encourageons-nous les uns les autres en ce sens. Serrons-nous les coudes. Informons, préparons nos familles à s’engager sur la route du vainqueur, comme au temps de Caleb et Josué où le peuple s’est engagé à passer de l’autre côté pour entrer dans le pays de la promesse.
Sur la route du vainqueur, pour nous chrétiens, la révélation – description - de l’Apocalypse reflète à l’inverse une bonne nouvelle. Jésus est revenu vers Jean – vers nous –, pour nous inviter à l’emprunter en vue de vivre victorieusement à partir des lieux célestes où nous sommes appelés à siéger ensemble dès maintenant en Christ, et le suivre alors dans l’achèvement de l’ouvrage sur la terre. Là est le plan véritable de l’évangélisation : Tel Jésus est, tels nous sommes destinés à être dans la traversée de ces évènements à venir.
Chers amis, frères et sœurs, en résumé, la notion « d’entrer » dans le Royaume de Dieu nous projette dans la découverte réelle des réalités du pays promis. Avec l’idée de « pénétrer », cela signifie « s’introduire » dans un lieu pour « saisir » les provisions de notre héritage. Considérons la perspective que Jésus nous donne dans ce verset de Jean 10 : 9 : « C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. »
Le fait d’entrer ne signifie pas « mourir ». Là n’est pas la finalité, puisque la mort a été vaincue et que si nous entrons, c’est que nous sommes revêtus de l’incorruptibilité et de l’immortalité. Nous en sortons donc également pour ÊTRE sur la terre ce qu’il a fait de nous : Être comme LUI et accomplir les mêmes œuvres, même de plus grandes. La notion de « sortir » s’exprime donc par le fait d’émerger, de jaillir, d’éclore, de produire ce que nous sommes avec Jésus au ciel. Nous ne pouvons pas imaginer entrer dans le Royaume de Dieu et en sortir les mains vides. Jésus était sur la terre ce qu’il était au ciel, faisant ce qu’il voyait faire au Père. La multiplication des pains en est une illustration (Matthieu 14 :17). Pierre et Jean qui rencontrent le boiteux à qui Pierre dira « ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche. Et le prenant par la main droite, il (Pierre) le fit lever. Au même instant, ses pieds et ses chevilles devinrent fermes ; d’un saut il fut debout, et il se mit à marcher. Il entra avec eux dans le temple, marchant, sautant et louant Dieu. » (Actes 3 :6-8). Dans l’action du Saint-Esprit et de feu, Pierre et Jean avaient part à ce que Jésus était dans sa gloire !!! (Actes 2 :1-4). Quelle démonstration d’évangélisation !!!
Chers amis, frères et sœurs, cherchons et entrons réellement dans le Royaume de Dieu, nous en sortirons pour ÊTRE ce que Jésus a fait de nous, nourrissant, ravitaillant, approvisionnant, fournissant, munissant, pourvoyant, accomplissant, achevant, donnant de notre sein ce qui doit jaillir comme un fleuve d’eau vive.
Le monde est en crise ? Le royaume de Dieu ne l’est pas. Choisissez votre modèle d’inspiration pour agir dans le bon sens.
J’invite chacun à se tenir dans la présence du Seigneur Jésus Glorifié. Comme l’aigle s’élève dans les hauteurs, laissons-nous élever dans Sa gloire. Là est notre victoire, notre capacité d’avoir part à la plus belle et honorable mission que Jésus nous offre de vivre en union avec lui.
Il fait de toi le vainqueur destiné à être au nombre « des sacrificateurs » qui forment Son Royaume.
Là est Son appel, son invitation.
Quant à nous, nous sommes engagés sur la route du vainqueur en vue d’avoir part concrètement à sa plénitude ; d’ores et déjà nous entrons dans le vécu de certaines réalités célestes, et recevons, sur la révélation de ses promesses, des explications précises sur des expériences passées et récentes.
C’est avec conviction, assurance que j’exprime ce message tant par le moyen du blog, la vidéo, et autres moyens pour donner l’occasion à toute personne la possibilité de s’engager sur la route du vainqueur.
Une chose est certaine, la joie du Seigneur Jésus est notre juste rémunération. Elle est notre force d’action à partir des lieux célestes, en vue d’instruire et d’encourager toute personne à découvrir les réalités du Royaume de Dieu et d’en sortir pleinement comblée à tous égards, et être ainsi assurée de son identité en Christ glorifié.
Que le Saint-Esprit vous dirige et soutienne votre démarche de foi.
Dieu soutient Son œuvre de foi et d’amour, et ses sacrificateurs ne manquent de rien pendant leur travail.
Fraternellement en Lui,
Votre frère et ami
Yves GRAVET
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