lundi 20 janvier 2020

L'Obéissance à l'Ordre Divin

L'Obéissance à l'Ordre Divin

Chers amis partenaires,


L’Ordre Divin est suivi de la provision céleste – surnaturelle. Il a pour objectif de nous assurer notre marche au quotidien qui nous conduit à notre plein salut en Jésus, le Christ Glorifié : esprit-âme-corps.

L’apôtre Jean est prisonnier sur l’ile de Patmos (Apocalypse 1). Dès les premières lignes, parlant de Jésus, le Christ Glorifié, il déclare ; « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra. … »

Jean a part à la tribulation, au royaume et à la persévérance en Jésus. Et voici, il est saisi par l’Esprit au jour du Seigneur, et il entend derrière lui une voix forte lui donnant cet Ordre Divin : « Ce que tu vois écris-le dans un livre et envoie-le aux sept Églises. »

Jean se retrouve en présence de Jésus, le Christ Glorifié. Immergé dans sa nature céleste a en tomber comme mort, l’Ordre Divin lui est renouvelé : « Écris donc ce que tu as vu, ce qui est, et ce qui doit arriver ensuite, … »

Églises, que faisons-nous de cet Ordre Divin ?



Jésus, le Christ Glorifié, est notre Arche de Gloire !

« A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen ! »

Jésus, Notre Christ Glorifié, nous invité à passer dans cette dimension céleste de notre plein salut. D’où l’Obéissance à cet Ordre Divin. Le Saint-Esprit œuvre à nous rassembler dans l’Arche de Gloire.

Du temps de Noé, l’Ordre Divin lui a été donné de construire l’Arche. Il en reçu surnaturellement tous les détails de sa construction. Folie pour la société de son époque. Obéir à un tel Ordre Divin n’est pas du domaine de la chair, mais du cœur. Nous connaissons la suite cette histoire, le reste de notre humanité qui s’est moquée de cet Ordre Divin est emportée dans le déluge (Genèse 6, 7, 8).

Du temps de Moïse, l’Ordre Divin lui est donné de prendre dans sa main un bâton avec lequel il fera des miracles (Exode 4. 17). Et de rassembler le peuple pour sortir de l’Égypte et se rendre dans le pays de la promesse.

Moïse discute avec l’Éternel : « Voici, ils ne me croiront point, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : ‘L’Éternel ne t’est point apparu. » (Exode 4. 1).

 Et pour cause. « Ah ! Seigneur, je ne suis pas un homme qui ait la parole facile, et ce n’est ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur ; car j’ai la bouche et la langue embarrassées. »

Notons que l’Éternel a, par son savoir-faire, démontré à Moïse à propos de ce bâton, la manifestation du surnaturel divin. Pour autant, Moïse justifié son incompétence à porter le message du moment. Aaron sera alors sa bouche. Il y aura de ce fait un transfert entre Moïse et Aaron ; ce dernier aura le privilège d’annoncer la sortie d’Égypte.

Quant à Moïse, son Obéissance à l’Ordre Divin est de prendre ce simple bâton par lequel il allait faire des miracles devant le Pharaon jusqu’à ce que dernier relâche les enfants d’Israël.

Plus tard, les enfants d’Israël se retrouvent face à la mer, poursuivis par les Égyptiens. L’Ordre Divin est donné à Moïse d’étendre sa main sur la mer qui s’ouvre devant les Israéliens, laissant apparaitre la voie tracée divinement pour qu’ils passent à l’autre bord ; ce qui est divinement franchissable pour ceux qui de par leur obéissance à la foi honorent le Dieu d’Israël, ne l’est pas pour ceux qui poursuivent les enfants de Dieu afin de les exterminer ; les Égyptiens seront engloutis dans la mer et périront.

L’Obéissance à l’Ordre Divin vaut mieux que les sacrifices. Car l’Ordre Divin est donné de poser un acte de foi. Et Dieu opère alors le miracle. C’est Lui qui fait.

Un soir, les disciples sont avec Jésus dans un lieu désert. Il y a là une foule venue vers lui, au sein de laquelle de nombreux malades ont été guéris. L’heure est avancée et Jésus donne un ordre à ses disciples : « donnez-leur vous-mêmes à manger. Mais ils lui dirent : Nous n’avons ici que cinq pains et deux poissons. » (Matthieu 14. 15-20).

Devant cette foule, les disciples sont confondus par cet ordre auquel ils ne voient aucune possibilité humaine de pouvoir y répondre. Ils sont limités. L’ordre vient bien de Jésus, mais comment y obéir lorsqu’ils se voient limités ? La foi n’est-elle pas de saisir ce que Dieu promet ?

Jésus fait apporter ces pains et ces poissons. Et, devant ses disciples, comme pour leur démontrer où est la source intarissable qui couvre tous les besoins, il lève les yeux vers le ciel, et il rend grâces.
Et il commence à rompre les pains et les donne à ses disciples, qui les distribuent à la foule. Tous ont mangé et ont été rassasiés.

L’Obéissance à l’Ordre Divin est suivie des provisions divines, surnaturelles. Cet ordre se trouve corrompu dès l’instant où nous regardons à une réalité terrestre. Jésus a tout simplement levé les yeux vers le ciel, c’est-à-dire vers La Vérité Juridique Divine, là où était son cœur. Il était dans un corps tel que le notre avec tout ce que nous pouvons ressentir à la vue des réalités d’ici-bas. Cependant, il n’oubliait pas d’où il venait, ce qu’il était, à savoir : Le Chemin, la Vérité, la Vie ! Le Chemin de la Foi, c’est d’Obéir à la Vérité qu’inspire l’Ordre Divin conduisant à vivre dans la présence glorieuse de notre Seigneur Jésus-Christ, Corps Glorifié.
En ces temps, depuis sept mois que Sandrine, notre fille aînée, est hospitalisée pour un cancer infiltrant du tube digestif, sans prendre nourriture si ce n’est que par perfusion. Entourée et soutenue par une armée de « boucliers » selon qu’elle les cite, elle a mené son combat jusqu’à ce jour. Condamnée à mourir au bout de dix jours, elle en est arrivée au septième mois. Durant tout ce temps, nous avons été, par son comportement, boostés au niveau de notre foi. C’est elle qui, animée par le Saint-Esprit, nous a emmenés au-delà de nos limites, y compris l’ensemble de l’équipe médicale et les visiteurs ; tous unanimement témoignent : Nous n’avons pas toute l’écriture. Sandrine a été surprenante chaque jour. 

Depuis quinze jours, Sandrine était en soins palliatifs. Durant cette traversée, elle s’est généreusement affectionnée aux choses d’en haut, délaissant jour après jour les choses de la terre. Alors que toute la famille était auprès d’elle, le cœur dans la louange et l’adoration, elle a vu Jésus venir dans sa chambre, suivi du cheval blanc décrit en Apocalypse chapitre 6 les versets 1 et 2.
« Je vis alors l’Agneau ouvrir un des sept sceaux et j’entendis l’un des quatre êtres vivants dire d’une voix de tonnerre : « Viens. » Je regardai et je vis apparaître un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée et il partit en vainqueur et pour remporter la victoire. »

Et peu après, dans cette atmosphère céleste, elle a tendu sa main vers le ciel, et saisissant (ce qui lui être donné), elle le porta à sa bouche et le mangea avec le sourire. Elle vivait Apocalypse 3. 20.
« Voici, je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai chez lui et lui avec moi. »

Puisant dans ses ressources physiques, avec lucidité, elle donna un ordre à ses enfants : Vous allez préparer un repas. Vous êtes 14. Elle en donna la composition et le lieu où nous devions le manger. Ce qui, au départ, semblait humoristique, léger, l’Esprit du Seigneur est venu convaincre les cœurs du sérieux selon 2 Rois 20.1.
« A cette époque-là, Ézéchias fut atteint d’une maladie mortelle. Le prophète Esaïe, fils d’Amots, vint le trouver et lui annonça : « Voici ce que dit l’Éternel : Donne tes ordres à ta famille car tu vas mourir, tu ne vivras plus. »

Ainsi, lorsque les médecins nous ont dit : « nous n’avons pas toute l’écriture », notre regard se portant vers notre Dieu qui, en Jésus, le Christ Glorifié, nous dictait « Son Écriture – Son Ordre Divin. »

Nous sommes dans la reconnaissance de cette traversée dans laquelle nous avons été entrainés avec Sandrine pour capter l’Arche de Gloire qu’est Notre Seigneur Jésus-Christ.

Sandrine est l’œuvre de Ses mains. Chacun de nous peut voir la réalité d’en bas qui est tristesse de la séparation d’un être cher ; ce que Sandrine ne voulait pas voir sur les visages de ses visiteurs, obligeant chacun à lever les yeux et voir l’œuvre de notre Père.

J’ai eu la grâce lors d’un songe de suivre ma fille Sandrine. Nous étions tous deux transportés dans les cieux. Et elle me dit : « Papa, regarde, je vois les fruits de votre ministère. Et mes yeux s’ouvrir sur une magnifique plantation de pommiers dans un lieu verdoyant, les fruits étaient très beaux. »

Réfléchissant sur ce songe, j’ai repensé à nos premiers pas dans la foi en ce mois de janvier 1977 à Hirson dans l’Aisne. A ce pommier solitaire, au milieu de notre potager, qui était mort et au pied duquel, selon la loi de la semence et de la récolte financière, nous avons cru bon Michelle et moi de semer notre dernière pièce d’1franc (souriez). Nous n’étions pas « brouillés dans notre esprit » par la dualité « possible ? ou impossible ? ». Nous avons « cru » important de poser notre acte de foi et étions assurés qu’il était suffisant aux yeux de Dieu.

Et Dieu a redonné vie à la racine de ce pommier qui a donné généreusement ses pommes (100kg). Nous avions là, la démonstration que la racine du péché produisant la mort, Jésus est venu ôter « le péché – la racine » pour nous redonner vie. Et en Lui nous sommes greffés à la racine de la vie éternelle. Ainsi, Dieu a redonné vie à la racine de ce pommier.

Toute cette plantation de pommiers, c’est vous amis partenaires et compagnons d’œuvre, c’est la Vie Glorieuse de Christ Glorifié qui nourrit la racine de votre être « esprit-âme-corps ».

C’est cette Vie qui a animé et nourri Sandrine. A l’heure où je termine ma lettre – 20 décembre, Sandrine a été rappelée à 15 heures à la maison de notre Père.

Aussi, nous continuons de CROIRE ce que Dieu dit, et d’apprendre à Vivre selon Son Écriture Céleste.

Là où la course de Sandrine s’est arrêtée, nous la poursuivons en l’honneur de notre Roi de Gloire, Jésus, le Christ Glorifié et Couronné.

Merci à chacun de vous pour l’amour que vous nous témoignez au Nom de Notre Seigneur Jésus-Christ. Nous le recevons avec gratitude et il nous aide à naviguer sereinement dans cette traversée.

Nous poursuivons notre course afin que le ministère apporte la vie aux âmes solitaires en quelques lieux que ce soient. L’Esprit de vie produit encore et encore de beaux pommiers qui portent et porteront de beaux fruits dans les lieux célestes.

 

Des nouvelles émissions destinées à la télévision IMPACT-TV ont été récemment envoyées. Je rappelle que l’une de nos émissions REFLEXION « Quand Jésus visite un musulman » avec le pasteur David TRAORE a été visionnée plus de 35.000 fois.

Nous bénissons votre année 2020.
« Réjouissez-vous dans l’espérance et soyez patients dans la détresse. Persévérez dans la prière. » Romains 12.12.

Avec Michelle nous disons notre vive affection dans l’Amour de notre Sei

Votre ami
Yves GRAVET
gneur Jésus-Christ.