RÉSUMÉ
La transformation spirituelle opérée par la crucifixion de la nature adamique invite à renoncer à l’ancienne nature pour vivre selon l’Esprit, recevant une vie nouvelle en Christ. Ce changement intérieur permet au croyant de refléter la vie de Jésus-Christ et de participer activement à la mission divine, soutenu par la puissance du Saint-Esprit.
· Transformation par la croix: La crucifixion de la nature adamique libère le croyant des œuvres de Satan pour vivre selon l’Esprit et marcher dans la lumière de Dieu.
· Nouvelle identité chrétienne: Être chrétien signifie adopter la nature de Christ, refléter Son caractère et vivre une vie transformée par la grâce divine.
· Rôle de la Parole et de la foi: La Parole de Dieu guide la marche du croyant, façonnant pensées et actions pour refléter la sainteté de Dieu.
· Puissance du Saint-Esprit: Le Saint-Esprit agit en partenariat avec la nouvelle nature pour transformer l’être, inspirer l’amour divin et habiliter le témoignage chrétien.
· Renouveau en Christ: La vie nouvelle en Christ remplace l’ancienne nature, orientant le croyant vers la justice, la paix et l’amour, avec une identité cachée en Dieu.
· Perspective céleste: Mourir à l’ancienne nature permet de rechercher les réalités d’en haut, où la vie est cachée avec Christ, favorisant une croissance spirituelle continue.
· Vie communautaire et unité: La vie chrétienne s’épanouit dans la communauté, où chaque membre contribue à l’édification du Corps du Christ sous l’action du Saint-Esprit.
· Dimension féminine du Saint-Esprit: Le Saint-Esprit, désigné par le terme hébreu féminin ROUaH, révèle une richesse mystique et une transformation profonde dans la relation avec Dieu.
CHANGEMENT DE NATURE
Nous allons, en considérant la réflexion de l'œuvre de la Croix accomplie par Notre Seigneur Jésus-Christ (voir dossier 99), prendre en compte la crucifixion de la nature adamique – notre nature séparée du rayonnement de la gloire de Dieu, par voie de conséquence devenant une nature soumise aux œuvres de Satan.
Cette transformation radicale, opérée à la croix, nous invite à renoncer à l’ancienne nature pour vivre selon l’Esprit, en recevant la vie nouvelle qui nous est offerte en Christ. Ainsi, le croyant est appelé à se détourner des désirs charnels pour marcher dans la lumière de Dieu, restauré dans sa relation avec le Créateur.
C'est ainsi qu'accepter l'œuvre de Jésus-Christ et le recevoir dans notre vie, c'est Lui ouvrir la porte de notre existence, afin qu'Il règne en Seigneur et Sauveur sur notre cœur de pierre pour le transformer en cœur de chair. Par ce changement intérieur, le croyant devient alors capable de servir Sa cause et de participer activement au salut des âmes, porté par une nouvelle nature restaurée par la grâce divine.
« En effet, la nature humaine tend à la révolte contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu et qu'elle n’en est même pas capable. » Romains 8:7 S21
« Or, ceux qui sont animés par leur nature propre ne peuvent pas plaire à Dieu. » Romains 8:8 S21
Il s'agit donc bien de prendre en compte que marcher à la suite de Notre Seigneur Jésus-Christ, consiste à marcher par la foi en nouveauté de vie. Autrement dit, passer du séjour des morts à la vie du ressuscité assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Ce passage symbolise non seulement une rupture avec l’ancienne existence soumise au péché et à la séparation d’avec Dieu, mais également l’entrée dans une dimension de victoire et de communion profonde avec Lui.
Vivre ainsi, c’est adopter une perspective nouvelle où l’homme n’est plus esclave de ses penchants naturels, mais devient héritier des promesses divines, participant dès ici-bas à la réalité spirituelle du Royaume de Dieu. Par la foi, le croyant s’identifie à la résurrection du Christ et expérimente la puissance d’une vie transformée, orientée vers la gloire de Dieu.
« Quand il l'eut trouvé, il l'amena à Antioche. Pendant toute une année, ils participèrent aux réunions de l'Église et ils enseignèrent beaucoup de personnes. C’est à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens. » Actes 11:26 S21
C'est ici, dans ce verset, que les disciples sont identifiés comme « chrétiens », c'est-à-dire apparentés à la nature de Jésus-Christ. Ce nom, donné pour la première fois à Antioche, souligne leur appartenance à Christ et leur engagement à refléter Sa vie et Son caractère dans le monde.
Être chrétien, en son sens le plus profond, signifie effectivement « être comme Christ ». Ce terme, apparu pour la première fois à Antioche, désigne ceux qui, par leur foi et leur engagement, cherchent à refléter la vie, le caractère et les enseignements de Jésus-Christ dans leur quotidien. Il ne s’agit pas simplement d’une appartenance religieuse ou d’une étiquette, mais d’une transformation intérieure où le croyant adopte la pensée, les attitudes et les actions du Christ, guidé par l’Esprit Saint.
Devenir chrétien, c’est accepter l’œuvre de Jésus-Christ, renoncer à l’ancienne nature et recevoir une vie nouvelle, restaurée par la grâce divine. Cela implique un cheminement où l’on apprend à aimer, pardonner et servir à l’image du Seigneur, manifestant ainsi la réalité du Royaume de Dieu dans le monde. Être chrétien, c’est donc aspirer à ressembler toujours plus à Christ, dans l’humilité, la compassion et la vérité.
C'est en ce sens que la Parole de Dieu – Jésus est La Parole – est LA lumière qui nous éclaire dans notre marche sur le chemin de la foi. Elle nous guide à chaque étape, nous permettant de discerner la vérité, de persévérer dans l'épreuve et de demeurer fermes dans l'espérance. Ainsi, marcher à la lumière de la Parole, c'est choisir de laisser Christ façonner nos pensées et nos actions, afin que toute notre existence soit un reflet fidèle de Sa présence et de Son amour dans le monde.
« Mais vous recevrez une puissance lorsque le Saint-Esprit viendra sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre. » Actes 1:8 S21
La puissance du Saint-Esprit vient sur nous pour agir de concert avec notre nouvelle nature, de telle sorte que nous agissions en partenariat sous l'influence de l'amour.
Dieu est amour. Jésus est amour. Le Saint-Esprit est amour.
Or, vivre selon la nouvelle nature, c'est vivre dans la dépendance de cet amour, un amour qui n'est pas de ce monde. Cet amour, divin et inconditionnel, transforme profondément notre manière d’être et d’agir : il pousse le croyant à dépasser ses limites humaines pour embrasser la grâce, le pardon et la générosité envers autrui.
Vivre selon la nouvelle nature en Christ est une vie disciplinée, animée par le Saint-Esprit qui habite – demeure – là où il est reconnu et reçu ; le chrétien en devient Son Temple. Cette réalité spirituelle implique que le croyant n’est plus simplement un observateur, mais un participant actif à l’œuvre de Dieu, accueillant la présence du Saint-Esprit dans toutes les dimensions de sa vie. Ainsi, le chrétien porte en lui la lumière et la puissance divine, devenant un témoin vivant de l’amour et de la sainteté de Dieu dans son quotidien.
En s’appuyant sur cette force d’amour, le chrétien n’agit plus par contrainte ou par simple devoir, mais sous l’inspiration et la liberté que donne l’Esprit. Ainsi, chaque parole, chaque geste et chaque choix deviennent le fruit d’une collaboration vivante entre la nouvelle nature reçue en Christ et la présence agissante du Saint-Esprit. C’est là que réside le témoignage authentique du disciple, appelé à refléter l’essence même de Dieu dans un monde en quête de lumière et d’espérance.
« Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » 2 Corinthiens 5:17 S21
L’apôtre Paul définit la vie en Christ par un changement de nature et de comportement. Ce renouvellement radical engloutit les anciennes habitudes et manières de vivre, qui n’ont plus de place ni de valeur face à la vie nouvelle offerte par Christ. L’ancienne nature, marquée par les œuvres des ténèbres, s’efface devant la lumière et la nouveauté de l’existence en Christ, où tout est désormais orienté vers la justice, la paix et l’amour.
« J'ai été crucifié avec Christ; ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et qui s'est donné lui-même pour moi. » Galates 2:20 S21
Le "moi" signifie notre nature séparée de l'empreinte de la gloire de Dieu, exposée aux œuvres de ténèbres qui opèrent dans ce monde. Or, accepter et vivre Christ en nous, c'est considérer notre ancienne nature crucifiée avec Lui à la croix, et considérer vivre dans notre corps dans la foi sous le pouvoir de la nouvelle nature du Fils de Dieu qui s'est donné Lui-même pour nous.
Cette réalité spirituelle implique un renoncement profond à ce que nous étions autrefois, pour accueillir pleinement la vie nouvelle que Christ offre. En abandonnant l'ancien "moi", nous devenons réceptifs à l'action transformatrice du Saint-Esprit, qui renouvelle notre esprit et nous conduit à vivre selon les valeurs du Royaume de Dieu. Ainsi, chaque aspect de notre existence est appelé à refléter l’œuvre rédemptrice du Christ, manifestant Sa lumière au sein d’un monde marqué par l’obscurité.
« En effet, Christ est ma vie et mourir représente un gain. » Philippiens 1:21 S21
Au premier degré, l'apôtre Paul, visionnant ce qui l'attendait auprès du Seigneur Jésus, voyait la mort comme un gain. Néanmoins, Christ étant sa vie, au second degré, nous aussi nous pouvons tout au moins comprendre que la mort de notre ancienne nature est un gain qui nous offre de nous enrichir EN HAUT, dans le troisième ciel où notre vie est cachée en Christ.
Ce qu'il confirme par cet écrit suivant : « Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, recherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Attachez-vous aux réalités d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre. En effet, vous avez connu la mort et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. Quand Christ, notre vie, apparaîtra, alors vous apparaîtrez aussi avec lui dans la gloire. » Colossiens 3:1-4 S21
En effet, seul celui qui a accepté de mourir à son ancienne nature, détachée de la gloire de Dieu, peut véritablement expérimenter la résurrection en Christ. Cette résurrection n’est pas simplement un événement passé, mais une réalité vivante et dynamique : elle nous invite à orienter nos pensées et nos désirs vers les réalités célestes, « les choses d’en haut », qui nourrissent et développent notre croissance spirituelle. C’est en poursuivant cette quête du divin, en laissant l’Esprit nous transformer, que nous avançons progressivement vers la maturité parfaite à laquelle Christ nous appelle.
Ainsi, la résurrection en Christ ne se limite pas à un changement ponctuel, mais s’exprime dans un processus continu où chaque jour, par la foi, nous choisissons de renoncer à l’ancien pour embrasser la nouveauté de la vie en Dieu. Cette démarche consciente et persévérante est la clé pour croître, s’édifier et refléter toujours davantage la plénitude de Christ dans notre marche quotidienne.
Telle était la démarche vivante de l’Église naissante.
« Ceux qui acceptèrent sa parole furent donc baptisés et, ce jour-là, le nombre des disciples augmenta d’environ 3000 personnes. Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain et dans les prières.
La crainte s'emparait de chacun et il se faisait beaucoup de prodiges et de signes miraculeux par l’intermédiaire des apôtres. Tous ceux qui croyaient étaient ensemble et ils avaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens et ils en partageaient le produit entre tous, en fonction des besoins.
Chaque jour, avec persévérance, ils se retrouvaient d’un commun accord au temple; ils rompaient le pain dans les maisons et ils prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur. Ils louaient Dieu et avaient la faveur de tout le peuple. Le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église ceux qui étaient sauvés. » Actes 2:41-47 S21
L'action de l'Esprit-Saint dictait la vie des 3000 âmes qui se retrouvaient pour suivre les enseignements des apôtres. Ils vivaient pleinement leur changement de nature sous la gouvernance du Saint-Esprit, laissant Celui-ci les conduire dans toutes leurs démarches quotidiennes et dans la communion fraternelle.
Il est intéressant de noter, selon l'Hébreu, que le Nom "Saint-Esprit" que nous exprimons en français au masculin, peut aussi s'exprimer au féminin : "La Sainte-Esprie".
Cette nuance linguistique en hébreu révèle un changement de nature notable à considérer, car elle éclaire d'un jour nouveau la composante de la Sainte Trinité, soulignant la richesse et la profondeur du mystère divin qui se manifeste dans la diversité des expressions et des langues.
Afin de mieux en saisir son importance, rendez-vous sur le blog Vie Comblée dans la
RUBRIQUE DE L’EGLISE DES VAINQUEURS (131) :
LE VISAGE ET LE CORPS DU SAINT-ESPRIT
Du Docteur en Théologie Martin BUSCH
En voici un extrait…
1. 1.L’appellation biblique du Saint-Esprit
Il est important de noter d’emblée que la ROUaH (Genèse 1 :2 ; traduit traditionnellement par Esprit) est un substantif hébreu au FEMININ ainsi que la NisCHaMaH (haleine [de YHWH]) ce qui révèle en fait que cette ROUaH et/ou NisCHaMaH est en quelque sorte la réalité féminine de la Trinité !!! Surprise, surprise !!! Alors traduction = trahison ? Très certainement et ladite « trahison » serait moins grave si on avait traduit par la Sainte Esprie ou l’Esprie Saintepar exemple. Ceci n’est d’ailleurs qu’une proposition de traduction personnelle…
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Il nous faut donc affirmer la présence de la féminité dans la Trinité ! Le substantif ROUaH au féminin non seulement nous suggère cette affirmation, mais mieux encore, nous la démontre. Ce n’est en effet pas un « hasard » que ROUaH soit du genre féminin dans la Parole de Dieu. Cela révèle une réalité qui fut scandaleusement occultée à commencer par la traduction machiste dans les langues actuelles majeures à notre connaissance !
…
Nous constaterons que la féminité de la ROUaH KoDeSCH (Esprie Sainte) nous donnera des éclairages fondamentaux la concernant au niveau du visage et du corps ! Nous utiliserons dans notre propos soit l’appellation hébraïque, soit la grecque, soit la traduction que nous avons proposée en français.
A juste titre, la ROUaH KoDeSCH est représentée par la Colombe, le Feu, la Lumière, la Nuée, les sept Lampes, les sept Cornes, les sept Yeux, les Éclairs, le Souffle, le Vent, la Puissance, la Force, la Dynamique, l’Épée, la Clé de David, la Source d’eau vive... cette diversité étant rendue possible au titre de la métamorphose (transfiguration, transformation), une caractéristique et une constante célestes.
Elle est aussi perçue dans Ses actions et effets comme Celle qui sonde, remplit, revêt, crée, transforme, métamorphose, ressuscite, défend, réveille, inspire, conduit, prend soin, guérit, rend témoignage au Père et au Fils, montre le Fils, convainc de péché, de justice et de jugement, tranche, exécute des jugements, parle, console, accompagne, défend, communique, saisit, habite et baptise le croyant, révèle, illumine, active les dons spirituels, les ministères, les services-ministères... et j’en oublie probablement… !)
En conclusion, il convient de retenir que le changement de nature s’opère avant tout dans une relation vivante et personnelle avec Dieu, où « l’Esprie Sainte » agit en profondeur pour transformer notre cœur et notre être.
Cette transformation ne se limite pas à une expérience intime : elle nous révèle notre identité nouvelle et notre vie cachée en Christ, source de paix, de force et de lumière.
Découvrir cette vie en Christ, c’est accepter de s’abandonner à Son action, de se laisser façonner et renouveler, tout en s’inscrivant dans la dynamique communautaire du Corps du Christ.
Ainsi, notre cheminement spirituel devient témoignage de la grâce divine, et notre relation avec Dieu s’enrichit, nous invitant à vivre pleinement la vocation d’enfant de Dieu, porteur de Sa présence et de Son amour dans le monde.
Il est également important de souligner que tout enfant de Dieu se nourrit « EN HAUT » où réside Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu la Sainte-Esprie, la source Trinitaire de toute provision nécessaire à la croissance de sa nature « esprit-âme-corps ».
Cette nourriture céleste, reçue dans la communion avec la Trinité, fortifie chaque dimension de notre être et nous permet de grandir en harmonie avec la volonté divine.
Ainsi, la plénitude de vie et de transformation que nous expérimentons découle de cette relation vivante et nourrissante avec Dieu, qui répond à tous nos besoins spirituels, émotionnels et physiques.
Un changement de nature opérant ni par force ni par l’intelligence, mais rendu possible par la puissance de l’Esprie Sainte à quiconque ouvre la porte de son cœur, s’inscrit au centre de l’expérience chrétienne.
Ce processus, librement accueilli, témoigne de l’action discrète mais irrésistible de l’Esprie, qui transforme en profondeur sans jamais contraindre, et offre une métamorphose authentique à ceux qui consentent à Sa présence vivifiante.
Prions ensemble…
« Papa, au Nom de notre Seigneur Jésus-Christ, sous la conduite de l’Esprie Sainte, Je viens humblement devant Toi, conscient de mon besoin d’être transformé par Ta présence.
Je t’ouvre la porte de notre cœur, confiant dans l’œuvre de l’Esprie Sainte qui renouvelle et vivifie.
Fais grandir en moi le désir de m’abandonner à Ton action, de laisser derrière moi l’ancien pour embrasser la vie nouvelle en Christ.
Que Ta lumière façonne chacune de mes pensées, chacune de mes paroles et chacun de mes gestes, afin que ma vie reflète Ta sainteté et Ta grâce.
Accorde-moi la force de marcher dans l’humilité et l’amour, uni au sein du Corps du Christ.
Que chacun de nous, par la puissance de l’Esprie Sainte, contribue à l’édification et à la croissance de la communauté, selon Ta volonté.
Merci pour la nouvelle identité que Tu nous donnes, pour la paix, la force et la lumière que Tu verses en nous chaque jour.
Nous plaçons notre confiance en Toi, Papa, et nous Te louons pour la transformation profonde que Tu accomplis en nous et au milieu de nous en conséquence de l’œuvre accomplie pour notre salut par notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. Amen. »
En Lui,
Fraternellement,
Yves GRAVET
Pasteur-Missionnaire
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