vendredi 13 juin 2025

L'ÂME ET SON RÉDEMPTEUR

 RÉSUMÉ

Le contenu de cet écrit explore la profondeur de l'amour de Dieu à travers l'œuvre rédemptrice de Son Fils Unique, Yéchoua. 

ü  Il souligne l'importance de la rédemption des âmes et la démonstration de l'amour divin. 

ü  Yéchoua, envoyé au cœur de l'humanité, a résisté aux tentations de Satan et a accompli une œuvre rédemptrice à la Croix de Golgotha, accessible à quiconque reconnaît cette œuvre et naît de nouveau dans l'Esprit.

ü  L'apôtre Paul est également mentionné, mettant l'accent sur l'obéissance, la grâce et le salut. Il exhorte les croyants à travailler à leur salut avec crainte et tremblement, en alignant leur âme sur la volonté divine.

ü  La grâce divine, selon Paul, est essentielle pour le salut, libérant l'âme de l'emprise du péché et de la mort.

ü  Le document aborde également la satisfaction de l'âme dans le plan rédempteur de Yéchoua, où l'âme trouve son essence dans la communion profonde avec Lui. L'œuvre de la Croix est décrite comme l'acte suprême de rédemption et d'amour, permettant à l'âme d'accéder au cœur de la promesse divine.

ü  La foi est présentée comme un exercice spirituel, une marche quotidienne vers la transformation et la croissance spirituelle.

ü  Enfin, le document conclut sur l'importance de vivre pour la joie de Yéchoua, en offrant une foi sincère et fidèle, et en participant à Sa gloire éternelle.



L'ÂME ET SON RÉDEMPTEUR

 

L'âme et Son Rédempteur ? 

Quelle immense démonstration de l'amour de Dieu à travers l'œuvre de Son Fils Unique, Yéchoua ! 

Envoyé au cœur de notre humanité dans un corps semblable au nôtre, ayant été tenté en toutes choses comme nous le sommes, il n'a jamais cédé aux ruses de Satan, notre adversaire, le voleur d'âmes.

L'ampleur d'une telle œuvre dépasse les limites de la dimension humaine ; elle est accessible à quiconque donne acte de reconnaissance de l’œuvre rédemptrice, pour son plein salut, accomplie par Yéchoua à la Croix de Golgotha, et qui naît de nouveau dans la dimension de l'Esprit, permettant ainsi d'entrer dans la révélation de Christ.

La joie du Seigneur Yéchoua ne réside pas dans les émotions de la chair ; elle est celle de Son Esprit qui anime l'esprit de quiconque est né de nouveau de l'Esprit, cette joie est la 'FORCE' de son esprit soumis à Son œuvre rédemptrice.

La 'FORCE' de l'esprit de foi, fondée sur la Parole de Dieu, élève l'âme en alignement avec la volonté divine – l'œuvre parfaite de l'amour de Dieu. Ainsi, l'âme trouve le repos tout au long de son voyage, son pèlerinage dans le corps où elle réside.

La joie de cette âme ne réside pas dans ce qui est éphémère, mais dans les hauteurs célestes où elle demeure dans la résurrection de Yéchoua Son Rédempteur, étant assise en Lui à la droite de Dieu. La réalité des choses cachées à l'humanité devient 'LA VÉRITÉ' qui libère l'esprit, l'âme et le corps.

"En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort."(Romains 8:2)

"Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme." (3 Jean 1:2)

L'état de notre âme ? Sa valeur est infiniment précieuse pour Dieu, notre Créateur ! 

Aimer l'âme de notre prochain comme nous aimons la nôtre ? Voilà la volonté parfaite de Dieu.

 

 

"Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte ettremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent ; car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir.

Faites toutes choses sans murmures ni hésitationsafin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquellevous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie ; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n’avoir pas couru en vain ni travaillé en vain.(Philippiens 2:12-16)

 

L’enseignement de l’apôtre Paul sur l’obéissance, la grâce et le salut

Encouragement à l’obéissance et à l’alignement de l’âme

L’apôtre Paul, dans son message aux Philippiens (2:12-16), place un fort accent sur l’obéissance comme un pilier essentiel pour aligner notre âme sur la volonté parfaite de Dieu. Il exhorte les croyants à travailler à leur salut non seulement en sa présence, mais encore davantage en son absence, avec "crainte et tremblement".

Cette crainte ne doit pas être perçue comme une peur paralysante, mais plutôt comme une révérenceprofonde envers Dieu et une conscience aiguë de la responsabilité spirituelle qui nous incombe. En alignant notre âme sur la volonté divine, nous devenons irréprochables et purs, des "flambeaux" brillants dans un monde corrompu, portant la parole de vie et reflétant le caractère divin.

L’importance de la grâce pour le salut

Paul souligne également le rôle central de la grâce dans le processus de salut. Il rappelle aux croyants que ce n’est pas par leurs propres mérites qu’ils peuvent atteindre la rédemption, mais par l’œuvre parfaite de Dieu en Jésus-Christ (Yéchoua). 

La grâce, qui se manifeste dans la loi de l’esprit de vie, libère l’âme de l’emprise du péché et de la mort, comme il l’exprime dans Romains 8:2. Cette grâce divine est le moteur qui "produit en nous le vouloir et le faire", selon le bon plaisir de Dieu le Père, notre Créateur. Ainsi, elle devient le fondement de notre salut et le témoignage de Son amour incommensurable pour notre "âme".

Travailler à notre salut avec crainte et tremblement

Paul ne manque pas de souligner la nécessité d’un effort actif dans le cheminement spirituel. Il met en lumière l’équilibre entre la souveraineté de Dieu et notre responsabilité humaine. La grâce nous est offerte, mais elle requiert de nous une réponse engageante. 

Travailler à notre salut implique de se soumettre à l’œuvre rédemptrice de Christ, d’aligner notre foi sur la Parole de Dieu, et d’exercer une vigilance constante dans notre marche spirituelle. 

Ce travail s’accompagne d’une attitude de crainte respectueuse, qui reconnaît la grandeur de Dieu et notre dépendance totale envers Lui. Ainsi, l’obéissance, la réception de la grâce et l’effort constant convergent pour permettre à l’âme de prospérer et d’atteindre son état de repos en Dieu.

En conclusion, l’enseignement de Paul nous invite à embrasser l’obéissance, à reconnaître l’immense bénéfice de la grâce pour notre salut, et à travailler avec dévouement et révérence à cette œuvre de transformation spirituelle.

 

Paul, en effet, encourage les croyants à adopter une attitude de confiance et de paix intérieure dans l’accomplissement de leurs tâches spirituelles, "sans murmures ni hésitations". Cette exhortation reflète une invitation à l’abandon total entre les mains de Dieu, en renonçant aux plaintes souvent dictées par l’inquiétude ou la peur, et en écartant les hésitations qui pourraient freiner notre obéissance à Sa volonté.

L’apôtre semble ouvrir une perspective précieuse : celle où la santé de notre âme est liée à notre disposition à accueillir la grâce avec un cœur tranquille et résolu. Faire toutes choses sans murmures revient à cultiver une gratitude constante, en reconnaissant que chaque aspect de notre vie, même les épreuves, peut être un moyen par lequel Dieu travaille en nous Son bon plaisir. Sans hésitations, c’est avancer avec foi, même lorsque le chemin semble obscur, sachant que Dieu est fidèle pour guider nos pas.

Quant à l’image du casque du salut, elle évoque une réflexion vibrante et contemporaine. Les écouteurs ouverts symbolisent-ils une âme réceptive à la voix de Dieu, prête à entendre la douce direction de Son Esprit ? Cette question appelle chaque croyant à examiner de près sa sensibilité aux enseignements divins. Sommes-nous réellement à l’écoute, ou avons-nous laissé les distractions du monde interférer et brouiller le message céleste ?

Cette réflexion reste ouverte, comme un appel à penser non seulement à l’obéissance, mais aussi à la posture intérieure qui accompagne notre marche avec Dieu. Tout comme un casque bien ajusté protège et aide à percevoir le son de manière claire, notre disposition spirituelle doit être alignée sur la grâce pour recevoir pleinement les richesses de la parole de vie.

Cette vision du christianisme contemporain comme un christianisme "hi-pop" suscite une réflexion intrigante sur l’évolution de la foi dans un monde saturé de culture populaire. L’expression semble marier les éléments d’une spiritualité profonde avec les formes et les codes d’une société moderne qui valorise dans l'immédiat, le spectacle et l’innovation.

Dans ce contexte, le christianisme pourrait être perçu à la fois comme une réponse aux besoins spirituels d’une génération connectée, et comme une tradition qui s’adapte pour rester pertinente. Les églises qui intègrent des styles musicaux dynamiques, des technologies de pointe et des discours accessibles cherchent peut-être à rendre le message chrétien plus tangible et attractif, tout en évitant que la profondeur du message ne soit diluée dans une mise en scène superficielle.

Cependant, une question demeure essentielle : comment préserver l’équilibre entre l’authenticité du message de l’Évangile et les formes modernes de communication ? Le danger d’un christianisme « hi-pop » pourrait résider dans une éventuelle perte de substance, où l’expérience émotionnelle prendrait le pas sur la transformation intérieure. Si les cœurs sont touchés par une mise en scène vibrante, reste-t-il la place pour la méditation, la repentance et la communion véritable avec Dieu ?

Le véritable défi, alors, pourrait être de conjuguer l’innovation avec une fidélité à l’essence du christianisme : une foi qui résonne au-delà des modes passagères tout en parlant à l’âme dans le langage de son époque

Comme Paul l’a évoqué, travailler à notre salut demande vigilance et intention. Peut-être que dans ce christianisme "hi-pop", chaque croyant est appelé à discerner ce qui nourrit la foi véritable et ce qui risque de distraire de l’essentiel : une marche sincère et équilibrée avec le divin.

 

La Sérénité dans la Présence de Dieu

Il est des instants où l’âme, fatiguée par le tumulte incessant de ce monde, aspire à un refuge, un havre de paix où les bruissements de la vie cèdent la place à un silence sacré. Dans ces moments de quête intérieure, se retrouver face à La Parole de Dieu devient non seulement une source de réconfort, mais une manifestation tangible de l’amour infini du Créateur pour sa création.

Visualiser le langage de Dieu, c’est s’ouvrir à une réalité qui dépasse les limites de l’entendement humain. Chaque mot inscrit dans les Saintes Écritures, chaque parabole et chaque promesse semble tissé dans une toile d’éternité, conçue pour nourrir l’âme et l’élever au-delà des contingences terrestres. Loin d’être un simple texte, La Parole devient un miroir divin dans lequel l’individu perçoit à la fois ses faiblesses et la lumière d’une grâce qui ne cesse de l’appeler.

Lorsque le vent de l’Esprit effleure l’âme, c’est comme si le souffle même de Dieu enveloppait le cœur, rappelant à chacun qu’il n’est jamais seul. Ce vent subtil, porteur d’une paix qui dépasse toute compréhension, invite à un lâcher-prise total, à une confiance enfantine dans les bras d’un Père aimant. Il insuffle le courage nécessaire pour avancer, pour affronter les défis, tout en rétablissant cette sérénité intérieure que le monde ne saurait offrir.

Et qu’en est-il du son ? Entendre la voix de Dieu, c’est une expérience qui transcende les bruits discordants de la vie quotidienne. Ce n’est pas toujours un murmure audible, mais souvent une conviction qui naît au plus profond de l’être, une certitude douce et tranquille que Sa présence est là, constante, fidèle. Comme un berger qui guide ses brebis, la voix de Dieu oriente, console et exhorte.

Dans cette communion, l’âme découvre que le tumulte extérieur n’est pas une entrave à la paix intérieure. Au contraire, il devient un rappel constant de l’importance de se tourner vers Yéchoua qui reste immuable au milieu des tempêtes. La Parole, le souffle de l’Esprit et la voix divine forment une triade sacrée, un sanctuaire où l’âme peut se reposer et se régénérer.

Ainsi, chaque croyant est invité à s’immerger pleinement dans cette expérience, à laisser La Parole illuminer ses pensées, le vent de l’Esprit apaiser son cœur, et la voix du Bon Berger guider son chemin. Car dans cette présence divine, l’âme trouve non seulement sérénité, mais aussi force, espoir et amour éternel.

 

"…Tu aimeras ton prochain comme toi-même.

L’amour ne fait point de mal au prochain : l’amour est donc l’accomplissement de la loi.

Cela importe d’autant plus que vous savez en quel temps nous sommes : c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru."(Romains 13:9-11)

Une réflexion sur l’amour du prochain selon Romains 13:9-11

L’apôtre Paul, dans Romains 13:9, énonce une vérité fondamentale de l’Évangile : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même." Ce commandement, issu de la loi donnée par Dieu, résume en lui-même une grande partie des principes moraux et spirituels qui guident la vie du croyant.

L’interprétation que je vous propose est profondément pertinente. Aimer le prochain comme soi-même implique en effet d’aimer non seulement son être physique, mais aussi son âme, car l’âme est le siège de la vie intérieure et de la relation avec Dieu. 

En ce sens, aimer l’âme de son prochain revient à vouloir pour lui ce qui est le meilleur, à chercher son bien-être spirituel et à prier pour son salut, tout comme on le ferait pour soi-même.

Paul poursuit en indiquant que "l’amour" ne fait point de mal au prochain. En ajoutant que cet amour ne fait aucun tort "à l’âme" de notre prochain, c'est une précision qui reflète une compréhension profonde du texte. 

Faire du mal à l’âme, c’est détourner autrui de la vérité divine, lui causer des blessures spirituelles ou l’écarter de l’amour de Dieu. L’amour véritable, celui que Paul décrit, est un amour qui édifie, qui guérit et qui rapproche l’âme de Dieu Son Créateur. Il est donc à la fois un acte de compassion et un acte de responsabilité spirituelle.

Ainsi, l’amour chrétien, tel que défini ici, transcende le simple souci des besoins matériels ou émotionnels. Il inclut un désir sincère de voir l’âme de notre prochain grandir dans la lumière divine, de l’accompagner dans son cheminement spirituel et de lui porter secours dans ses moments de doute ou de faiblesse. Cet amour est profondément désintéressé et trouve son origine dans la communion avec Dieu lui-même.

En conclusion, aimer "l’âme" de son prochain comme sa propre âme, tout en veillant à ne lui faire aucun mal, est une manière de vivre le commandement de Paul avec une profondeur spirituelle renforcée. Cette approche témoigne non seulement d’une compréhension du texte biblique, mais aussi d’un engagement à manifester l’amour dans sa forme la plus pure : celle qui rejoint à la fois le cœur et l’esprit.

 

L’apôtre Paul, en soulignant l’importance du temps présent, invite les croyants à une vigilance accrue et à une prise de conscience spirituelle. Il affirme avec force : "C’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil."

Cette exhortation résonne à travers les siècles, nous rappelant qu’il ne s’agit pas seulement d’un éveil intellectuel, mais d’un réveil de l’âme, un appel à sortir de la nonchalance spirituelle.

Le temps que Paul mentionne, ce « kairos » dans le texte grec, est un moment décisif, un temps de grâce où l’humanité est appelée à discerner les signes de la proximité du salut. Ce salut, qui est "plus près de nous que lorsque nous avons cru", implique une transformation intérieure et un alignement avec la volonté divine. Il ne s’agit pas d’un simple événement futur, mais d’une réalité qui s’approche inexorablement, exigeant une préparation constante.

Dans notre monde contemporain, il est vrai que beaucoup vivent dans l’insouciance, souvent surpris par des événements tragiques ou inattendus. Pourtant, celui qui est né de Dieu, qui cultive en Yéchoua une intimité avec l'amour de Dieu son Créateur, demeure vigilant. Cette vigilance n’est pas marquée par la peur, mais par une confiance sereine dans la grâce divine. 

La grâce, en effet, agit comme une lumière qui éclaire les ténèbres, permettant au croyant d’anticiper, de discerner et de se préparer.

Veiller sur son âme, c’est rester aligné sur la volonté parfaite de Dieu, un alignement qui évite non seulement la surprise face à l’adversité, mais qui procure également une force intérieure. 

Cette force, alimentée par la prière et la méditation de la Parole, permet au croyant de faire face aux défis sans être ébranlé. En ce sens, la grâce divine n’est pas seulement un réconfort, mais un guide actif qui oriente les pas du fidèle.

Ainsi, l’avertissement de Paul trouve une résonance particulière dans nos vies modernes. Il nous appelle à la vigilance, à l’éveil, et à un engagement renouvelé envers Dieu. Cette posture spirituelle nous prépare à affronter les réalités imprévisibles de ce monde tout en gardant les yeux fixés sur la promesse éternelle du salut.

 

La satisfaction de l’âme dans le plan rédempteur de Yéchoua

Une réflexion spirituelle sur la foi et l’œuvre de la Croix

Dans le plan rédempteur en Yéchoua, la satisfaction de l’âme trouve son essence dans la communion profonde avec Celui qui est la Source de la vie. 

Yéchoua, en Sa substance vivante et glorieuse, incarne l’accomplissement des promesses divines. Il est le cœur du pays de la promesse, où l’âme affamée découvre l’abondance spirituelle, la paix intérieure et la lumière éternelle. 

La satisfaction de l’âme dépasse les besoins matériels pour s’enraciner dans une relation intime avec le Christ vivant, Seigneur et Sauveur de toute chair.

L’œuvre de la Croix et la substance vivante de Yéchoua

L’œuvre de la Croix, par laquelle Yéchoua a offert Sa vie, est l’acte suprême de rédemption et d’amour. Par ce sacrifice, le voile séparant l’humanité de Dieu a été déchiré, permettant à l’âme d’accéder au cœur de la promesse divine

Cette œuvre a établi une nouvelle réalité où la substance vivante de Yéchoua glorifié et nourrit ceux qui viennent à Lui avec foi.

Son Corps glorieux, une réalité spirituelle présente aujourd’hui, est le pain quotidien par lequel les âmes peuvent se nourrir et trouver la satisfaction ultime. Ce pain ne se limite pas à une subsistance spirituelle, mais représente l’union profonde avec Celui qui est la Vie. En Yéchoua, l’âme participe à la gloire promise, découvrant une joie inexprimable et une paix qui dépasse toute compréhension.

La foi : un exercice spirituel

L’exercice de la foi consiste à amener notre âme à s’abreuver quotidiennement à la source divine. Cette alimentation spirituelle se manifeste par une confiance active dans les promesses de Dieu et une quête constante de Sa présence. La foi n’est pas statique — elle est une marche quotidienne, un engagement à vivre selon les valeurs du Royaume et à se nourrir du Corps glorieux de Yéchoua, offert dans l’intimité de la communion.

La prière et l’étude de la Parole sont les moyens par lesquels le croyant s’ouvre à cette alimentation. Dans chaque méditation et chaque acte de foi, l’âme entre dans un processus de transformation, s’alignant davantage avec la volonté divine et expérimentant la satisfaction qu’offre la vie en Christ. Ainsi, la foi devient non seulement un outil de connexion avec Dieu, mais aussi un chemin de croissance spirituelle.

Le pays de la promesse : une réalité spirituelle

Le pays de la promesse n’est pas simplement une terre physique ou géographique ; il est une réalité spirituelle où l’âme trouve son véritable repos. Yéchoua, en Sa substance glorieuse, est le cœur de ce territoire, un endroit où les promesses divines sont pleinement réalisées. Dans ce pays, l’amour parfait de Dieu et Sa grâce abondante enveloppent l’âme, la libérant de toutes inquiétudes et la remplissant de joie.

La promesse faite à l’humanité depuis les temps anciens trouve son accomplissement en Yéchoua. Le croyant, en exerçant sa foi, entre dans ce pays spirituel et découvre une abondance qui dépasse les attentes. C’est là que l’âme trouve sa véritable satisfaction, non dans les possessions matérielles, mais dans l’unité avec son Créateur.

Conclusion : la satisfaction et la gloire

En conclusion, la satisfaction de l’âme dans le plan rédempteur en Yéchoua réside dans l’unité avec Lui, la Source de vie et de lumière. L’exercice de la foi, en amenant notre âme à se nourrir du Corps glorieux de Yéchoua, est un chemin de transformation qui nous mène au cœur même du pays de la promesse. 

Ce pays, où règne l’amour divin, est l’endroit où l’âme trouve la plénitude, la paix et la gloire éternelle. À travers la foi et la communion profonde avec le Christ, chaque croyant peut vivre pleinement cette réalité spirituelle et goûter à la joie parfaite de la promesse divine.

 

"Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons toutfardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrièrequi nous est ouverte, ayant les regards sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi, qui, en vue dela joie qui lui était réservée, a souffert la croix, méprisé l’ignominie, et s’est assis à la droite du trônede Dieu.

Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée." (Hébreux 12:1-3)

 

Le dessein rédempteur et l'exercice de la foi en Yéchoua

Fixer nos regards sur le Chef et Consommateur de notre foi

Chef de notre foi : Qui est-il ?

Le texte de l'Épître aux Hébreux (12:1-3) nous éclaire sur cette question fondamentale. Yéchoua (Jésus-Christ), est présenté comme le Chef de notre foi. Il en est l’origine, l’initiateur, Celui par qui tout commence. 

Cela signifie que la foi, en tant que don et réponse spirituelle, trouve sa source en Lui. C’est par Son exemple, Sa vie parfaite, et Son obéissance absolue au Père que nous découvrons ce qu’est une foi vivante et active.

Fixer nos regards sur le Chef de notre foi, c’est contempler Celui qui a inauguré le chemin vers le Royaume. En marchant dans Son exemple, nous nous engageons dans une foi qui ne reste pas passive, mais qui agit pour transformer l’âme et l’amener plus près de la plénitude divine.

Consommateur de notre foi : Quel est Son rôle ?

Yéchoua n’est pas seulement le Chef, mais aussi le Consommateur de notre foi. Ce terme, riche de sens, signifie qu’Il est celui qui la perfectionne, l’accomplit et la porte à son plein épanouissement. Il est le point d’aboutissement de notre démarche spirituelle. Tout ce que nous croyons, espérons et vivons en foi converge vers Lui.

En tant que Consommateur, Il transforme notre foi en une offrande agréable à Dieu. Toute foi véritable, fondée et exercée dans l’amour de Yéchoua, est achevée par Lui, comme une œuvre divine qu’Il scelle de Sa gloire. C’est Lui qui nous soutient dans la persévérance, portant nos faiblesses et renouvelant notre espérance.

Une foi agréable à Dieu : un juste retour ?

La question posée est profonde : notre foi doit-elle être agréable à consommer pour Yéchoua ? 

La réponse réside dans la nature même de notre communion avec Lui. 

Oui, la foi qui Lui est agréable est celle qui s’exprime par une confiance totale, un abandon authentique et une quête constante de Sa volonté. Une telle foi réjouit le cœur de notre Seigneur, car elle témoigne de notre réponse à Son amour et à Son sacrifice.

Cependant, ce n’est pas simplement une obligation morale ; c’est un acte d’amour réciproque. En vivant une foi agréable à Dieu, nous participons à la joie qui revient à Yéchoua, la joie qu’Il a embrassée malgré la croix, en vue de notre rédemption. 

Assurer cette joie à notre Seigneur, c’est vivre pleinement notre vocation d’être en unité avec Lui, dans l’amour et la gloire.

Conclusion : Vivre pour Sa joie

En conclusion, l’exercice de notre foi, dirigée vers Yéchoua, "Chef et Consommateur", est essentiel à notre élévation spirituelle. Notre foi, en trouvant son origine et son accomplissement en Lui, devient une offrande vivante qui honore notre Sauveur. 

En Lui offrant une foi sincère et fidèle, nous participons à Sa joie, cette joie qui Lui est légitimement réservée en tant que Rédempteur.

Ainsi, chaque croyant est appelé à marcher avec persévérance, le regard fixé sur Yéchoua, pour accomplir le dessein rédempteur de son âme et goûter à la plénitude de la promesse divine.



Prière de foi pour élever l’âme

Un acte de confiance et d’abandon

'Seigneur Yéchoua, Chef et Consommateur de notre foi, nous venons devant Toi avec un cœur plein de gratitude et d’humilité.

Nous Te louons pour Ton amour incommensurable, pour Ton sacrifice qui a embrassé la croix, et pour la joie que Tu as portée en vue de notre rédemption. Seigneur, nous désirons que notre foi soit agréable à Tes yeux, une offrande vivante et sincère qui témoigne de notre abandon total à Ta volonté.

Éclaire nos âmes, Seigneur, pour que nous puissions marcher avec persévérance, le regard fixé sur Toi. Apprends-nous à Te faire confiance dans les moments de doute, à nous appuyer sur Ta grâce dans les épreuves, et à chercher Ta volonté en toutes choses. Que notre foi devienne cette lumière qui éclaire notre chemin, ce souffle d’amour qui nous unit toujours plus à Toi.

Nous voulons, Seigneur, vivre pour Ta joie. Fais de nos vies un acte d’amour réciproque, une réponse à Ton appel divin. Remplis nos cœurs de la plénitude de Ta promesse et accorde-nous la grâce de participer à Ta gloire éternelle.

Bénis-nous, Yéchoua, pour que nous puissions devenir des témoins fidèles de Ta vérité, des instruments de Ton dessein rédempteur. Et, dans cette marche, Seigneur, sois notre force, notre guide et notre espoir.

Nous T’offrons notre foi, Seigneur, comme un chant d’amour et de dévotion, pour T’honorer et Te glorifier. Que cette prière élève notre âme vers Toi, et que chaque battement de notre cœur soit une offrande qui réjouit Ton cœur.

Amen.'

 

Fraternellement,

Dans le Nom de Yéchoua,

Yves GRAVET

 

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